Source : Article de Yves Rasir
NEO SANTE
COVID-19 : on tient un suspect !
Ça va, vous tenez le coup dans ce monde devenu
fou ? Moi, je vous avoue que la situation commence déjà à me
peser. Je n’ai jamais supporté que mes enfants soient tristes, or ma fille
aînée m’a confié hier sa tristesse d’avoir assisté à une violente dispute dans
un magasin entre trois personnes : l’une d’entre elles avait approché les
deux autres à moins d’1,5 m, ce qui ne leur a pas plu du tout !
Voilà où nous conduit cette virophobie démentielle ayant accouché du
confinement généralisé. Il faut stopper ce cauchemar au plus vite ! Cette
semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie.
Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos
devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais
existé et ça n’existera sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont
écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique. De
quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur
environnement sont-elles la conséquence ? Concernant Wuhan,
nous en sommes réduits au jeu des hypothèses. Selon une source que je ne
citerai pas encore car je n’ai pas pu la recouper, une pollution majeure suivie
d’une vive protestation populaire durement réprimée pourrait avoir été le
facteur déclencheur. Mais il faudrait pouvoir longuement enquêter sur place
pour étayer cette possibilité. Laissons la Chine de côté puisque, de toute
façon, la maladie baptisée Covid-19
et attribuée au coronavirus SARS-Cov2
y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a
enregistré presque le double de décès avec une population 22 fois
inférieure. Comment expliquer une telle tragédie ?
Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques. La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars
Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques. La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars
(Enregistré ss documents :Report-COVID-2019_17_marzo-v2)
de l’Istituto Superiore di Sanità,
l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3 ans de moins que
l’espérance de vie à la naissance) et seulement 0,8% des victimes
n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart
deux et la moitié trois. Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient
l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans
20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas, celle
d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive). Qu’on le veuille
ou non, que ça plaise ou non, la Covid-19 fauche très préférentiellement les vieilles
personnes déjà très malades. Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité.
Si on pense, comme moi, que le virus n’est pas seul en cause, il reste
cependant à élucider la surmortalité lombarde. Pollution
automobile ? Le trafic à Milan est beaucoup plus intense que dans
les villes les plus touchées, et pas plus dantesque que dans d’autres métropoles.
Défaillances du système de santé ? Au contraire, données et témoignages
indiquent que les infrastructures et le personnel médical sont ce qui se fait
de mieux en Italie, pays où les soins sont totalement gratuits. À mon
avis, c’est justement l’accès facile à cette offre abondante qui pose
question. Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale , 1975), le penseur écologiste Ivan Illich
montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale
moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses
inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus
lourds que ses bénéfices. Dans le monde industrialisé, l’art de guérir est
ainsi devenu celui de nuire à la santé. S’il parvient
paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité
(nombre de malades dans la société) plus répandue.
Vous me voyez venir ? J’insiste en effet sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52% des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale, la chloroquine fait aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’ on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est quand même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas. La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait sérieusement léser les poumons. Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique, le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ? L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal. En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ?
Vous me voyez venir ? J’insiste en effet sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52% des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale, la chloroquine fait aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’ on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est quand même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas. La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait sérieusement léser les poumons. Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique, le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ? L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal. En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ?
La semaine dernière, je mentionnais une étude
américaine montrant que la vaccination anti-grippale favorise les
infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais
ça n’explique toujours pas la flambée lombarde. Ailleurs dans le pays et
dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et
injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère,
ça se verrait davantage. J’en étais encore à me creuser la cervelle quand
j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour
ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le
fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le
combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des semences non
inscrites aux catalogues officiels. Entérinée par une décision
européenne, cette victoire devrait lui valoir mille fois le prix Nobel
alternatif. Quand il ne poursuit pas cette lutte libertaire et qu’il ne rédige
pas des monographies sur des plantes alimentaires ou médicinales, Dominique
Guillet fait du journalisme citoyen et publie le résultat de ses investigations
sur son site internet. Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et
que vous pouvez lire en cliquant
ici,
Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01
Publié le 22 mars 2020
Première Partie. Vaccinations
Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019
Cet essai est, strictement, consacré
aux thèmes de la psychose et de la non-existence du coronavirus Covid/19 à
l’instar de la non-existence du virus du Sida/VIH et à l’instar de la
non-existence du virus H1N1 de 1918. Accrochez-vous au bastingage car la mer
médiatique va devenir houleuse!! Au vu de l’accélération de la Dictature en
Marche – à savoir de l’orchestration de l’enfermement de la population
Française et de la suppression de toutes ses libertés – je mets en ligne la
première partie de ce dossier dont la finalité est de mettre en lumière que ce
n’est pas le CovID/2019 qui crée une narration…
Tout au contraire, c’est une
“narration” qui crée le CovID/2019 et qui amène,
tout naturellement, à une autre “narration”, celle de l’Agenda ID/2020 mis en place, dès 2017, par la
Fondation Bill Gates, par la Fondation Rockefeller, par Microsoft, par le Forum
de Davos et surtout par GAVI – the Vaccine Alliance, à savoir toute la
mafia pharmacratique et vaccinaliste. L’objectif déclaré de l’Agenda ID/2020 est une campagne de vaccination
universelle assortie d’un puçage électronique. Elle est déjà mise en
application, cette année, au Bangladesh, la première nation cobaye de cette
entreprise génocidaire et criminelle.
Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en
Lombardie
Aujourd’hui, la problématique fondamentale à
exposer est la suivante. “La Grippe Espagnole” de 1918/1920 fut, en fait, une
pneumonie bactérienne initiée par une campagne expérimentale de vaccination
antiméningococcique au Kansas, durant le printemps 1918 – à l’actif de
l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale.
J’invite, ainsi, tous les
internautes, les journalistes, les citoyens et même les “intellectuels et
philosophes” (si tant est que ce vocable ait encore un sens au vu de tous ceux
qui sont à genoux devant une poignée de dictateurs et de tortionnaires) à
enquêter dans les régions les plus touchées par des pathologies respiratoires
afin de déterminer s’il pourrait exister une corrélation avérée avec des
campagnes de vaccination massive à l’encontre de la méningite (ou même, en
fait, du papillomavirus) – telle que celle de 2017 portant sur 30 000
volontaires en Bourgogne. [45]
Alors qu’en Italie, la population de la
province de Bergame, en Lombardie, est la plus impactée, en ce moment, par des
pathologies respiratoires dramatiques… n’est-il pas très avisé de chercher des
corrélations, trop évidentes, entre ces pathologies pulmonaires et la récente
campagne de vaccination antiméningococcique (gratuite), de janvier 2020, dont toute la population de cette région a
été le sujet suite à une épidémie de méningite à méningocoques… impactant 6
personnes – dont deux décédèrent – en décembre 2019?
Le 18 mars 2020, le journal
Libération titrait “Covid-19 : «A Bergame, nous faisons un
enterrement toutes les trente minutes»”. [44] Est-ce
une coïncidence que Bergame fut, aussi, l’épicentre d’une vaccination
antiméningococcique massive – juste deux mois auparavant?
Sommes-nous dans la même situation
“d’infections bactériennes” que lors de la pandémie de 1918/1920 qui décima 65
millions de personnes, sur la planète et, avant tout, des personnes
ultra-vaccinées et ultra-médicamentées? Voir les explications ci-dessous.
Est-ce pour cela que le Professeur
Didier Raoult – totalement ostracisé et tourné en ridicule par les Autorités –
insiste tant sur l’usage de l’Hydroxychloroquine et de la Chloroquine? En
effet, même si ce médicament allopathique, la Chloroquine, utilisé depuis plus
de 70 ans, s’est avéré de moins en moins efficace en tant qu’antipaludique – de
par les résistances développées par le parasite Plasmodium falciparum [63] [64] –
de nombreuses études pharmacologiques ont
mis en exergue ses capacités anti-bactériennes, du moins in vitro. Par
exemple, à l’encontre de la bactérie Legionella pneumophila responsable de la
légionellose; à l’encontre de la bactérie Coxiella burnetii responsable de la
Fièvre Q ; à l’encontre de la bactérie Tropheryma whipplei responsable de la
maladie de Whipple, etc – ainsi que le Professeur Didier Raoult le met en
exergue dans son étude de 2007 intitulée “Recycling of chloroquine and its
hydroxyl analogue to face bacterial, fungal and viral infections in the 21st
century.” [46] Les dizaines d’études, sur lesquelles le
Professeur Didier Raoult a travaillé, sont disponibles sur le site du NCBI aux
USA. [47]
Il est évident, bien sûr, que ces remèdes allopathiques, très toxiques, induisent
des effets secondaires délétères avérés. [56] [65] Par exemple, la Chloroquine, au contraire de
l’Hydroxychloroquine, est excessivement dangereuse pour les quelques centaines
de millions de personnes mâles qui souffrent d’une carence en
glucose-6-phosphate déshydrogénase: la Chloroquine, chez ces mâles, peut
provoquer une anémie hémolytique qui, dans les cas les plus sévères, entraine
une dysfonction létale du système rénal. Cette déficience génétique concerne
plus particulièrement les mâles de descendance Méditerranéenne et
Africaine.
Il n’est, ainsi, pas dans mes
habitudes de promouvoir un anti-paludique de synthèse, lorsque tant de Plantes
Médicinales Maîtresses sont beaucoup plus efficaces, mais vue la situation de
détresse respiratoire, chez certaines parties de la
population très âgées, très vaccinées ou très psychosées, et vu le
non-accès à ces Plantes Médicinales Maîtresses [48], il est sûrement très sage de rester à
l’écoute de ce que le Professeur Didier Raoult préconise, en attendant mieux –
même si le paradigme officiel, et conventionnel, dont se réclame ce professeur
repose, en grande partie, sur une hallucination collective. D’autant plus que
ce professeur s’oppose, strictement, à tout confinement d’urgence de la
population et d’autant plus que l’épouvantable psychose, orchestrée par la
Dictature d’Etat, crée l’inflammation ou l’amplifie.
[9]
D’ailleurs, le très suspect Dr
Christian Perronne – chef de service en infectiologie à Garches, vaccinolâtre
invétéré (premier signataire pour les 11 vaccins obligatoires) et fanatique des
antibiotiques pour le traitement de Lyme – vient de révéler que tout le stock
de Chloroquine de la Pharmacie Centrale a été pillé. [57] A quel jeu joue
donc le Dr Christian Perronne? Qui sont les
pilleurs?
Que se passe-t-il
réellement en Macronie déliquescente? Qui accuse le Professeur Didier Raoult
d’être un gourou – alors qu’il se présente, strictement, comme un
pragmatiste? Pourquoi les Décodeurs du Décodex de l’ImMonde ont-ils catégorisé
les vidéos de cette éminence mondiale de la pharmacologie dans leur rubrique,
tout autant immonde, de Fake-news? Vont-ils en finir avec le Professeur
Didier Raoult comme avec tant d’autres chercheurs authentiques: à savoir
l’incarcération, pure et simple – pour non-obéissance aux diktats de l’Etat –
ou un suicide avec une balle dans le dos? Ou tout
cela n’est-il que du théâtre grotesque, à savoir une vaste supercherie
orchestrée par des déments criminels experts en manipulation sociale – et très
experts en Mal Social?
Que se passe-t-il réellement, au
sein du Grand Théâtre Guignolesque de la Macronie très déliquescente lorsque
des membres de la Tribu Levy s’épanchent, du moins officiellement, en guerre
intestine? En effet, l’infâme BH Levy a pris, récemment, la défense du Professeur
Raoult quant à l’offensive orchestrée, depuis des années, par le couple
criminel et vaccinaliste Agnès Buzyn/Yves Levy.
Pendant ce temps,
Novartis/Syngenta/ChinaChem, l’une des multinationales les plus biocidaires de
la sphère Agro-Pharmacratique – rachetée par l’Etat Chinois en 2017 – la main
sur le coeur, propose 130 millions de doses de Chloloroquine… [62] Pour faire oublier que leur agriculture
hautement chimique et toxique tue des milliers de personnes par jour?
Dans l’un de ses récents
interviews, Didier Raoult avoue qu’en ce qui concerne les patients qu’il
traite, actuellement, atteints d’infections respiratoires: «il y en a 50 % dont on ne sait pas ce
qu’ils ont, c’est notre grande ignorance.»
[58] D’où
la question fondamentale suivante: la moitié des patients pour lesquels le
diagnostic est inconnu, ont-ils été “testés” positifs, négatifs ou neutres?
S’agit-il, donc – essentiellement,
purement et simplement – d’un virus psychotique généré par une narration d’Etat
tout autant psychotique? Avec, en prime, l’arnaque des Tests de
positivité/négativité… très promus, d’ailleurs, par le Professeur Didier
Raoult. Quels Tests????
Puisque le Coronavirus ID/2019 n’existe pas….
S’agit-il d’un immense théâtre de
dupes avec des histoires imbriquées les unes dans les autres et toutes aussi
FAKE les unes que les autres? Afin de générer une pléthore de
dissonances cognitives, au sein de la population, en en accroissant
d’autant la psychose?
************************
Le 17 janvier, le conseiller pour le bien-être
de la région de Lombardie, Giulio Gallera, déclarait: «Plus de 33 500 personnes ont été vaccinées
en quelques semaines contre le Meningoque C, avec des pics de 70% de l’objectif
attendu. Par conséquent, la première phase du plan d’action régional
pourrait se terminer, avec la fin des activités de la plupart des 14 cliniques
extraordinaires… Nous ne laisserons pas tomber notre garde et, à partir du
lundi 20 janvier, il sera toujours possible de se faire vacciner gratuitement par les médecins généralistes et les pédiatres de libre choix dans
leurs cabinets. De plus, les vaccinations programmées se poursuivront dans les
écoles et les entreprises qui ont montré leur volonté de les accueillir selon
le calendrier déjà défini».
Voici le communiqué officiel de la région de
Lombardie: «En ce qui concerne les cas de
méningite (méningococcie invasive C) survenus ces derniers jours dans la région
du Bas-Sebino, région de Lombardie, les agences de protection de la santé (ATS)
de Bergame et de Brescia en accord avec le ministère de la santé et l’Istituto
Superiore di Sanità, ont décidé d’élargir l’offre de vaccination gratuite par une action de vaccination
extraordinaire tant dans les
communes principalement concernées (Villongo, Credaro, Sarnico, Predore, Paratico)
que dans les communes voisines (Adrara San Martino, Adrara San Rocco, Castelli
Calepio, Foresto Sparso, Gandosso, Grumello del Monte, Parzanica, Tavernola
Bergamasca, Viadanica, Vigolo, Iseo, Capriolo.) ». [42]
En effet, une “ceinture de sécurité
extraordinaire” fut lancée par la Région Lombardie, à partir du 24 décembre
2019, avec une offre de vaccination
gratuite à l’encontre de la méningite. [40]
Elle couvrait plus particulièrement la Province de Bergame – la région de Basso
Sebino et de Grumello.
La quasi-totalité de cette
population fut vaccinée, en janvier 2020, à l’encontre de la méningite suite à
une épidémie de Méningite C, qui sévit durant plusieurs mois… et qui toucha 6
personnes dont deux décédèrent!! Tout va bien?
Selon les données provenant des conseillers de
la Région Lombardie, la quasi-totalité de la région de Basso Sebino et de
Grumello fut vaccinée. Qui plus est, certains médecins prescrivaient des
antibiotiques aux personnes les plus effrayées – dont certaines, même,
commencèrent à porter des masques de protection dès le début janvier 2020 – de
par le fait que la vaccination antiméningococcique “ne prend effet” qu’au bout
de quelques semaines. [41]
Il semblerait, également, que cette campagne de vaccination antiméningococcique
C était concomitante de vaccinations à l’encontre du papillomavirus.
Il est à noter qu’une étude de 2007,
publiée par Elsevier, mettait en exergue la non-nécessité d’une vaccination
universelle antiméningococcique en Lombardie – de par l’impact quasiment
inexistant de cette pathologie dans cette région de l’Italie qui accueille 20%
de sa population globale. [38]
En janvier 2020, la campagne
systématique de vaccination antiméningococcique, en Lombardie, fut étayée, très
amplement, par la “peur des Migrants” – à savoir par la peur de cette
gigantesque Invasion de Migrants Africains programmée par les Banksters de
l’Europe afin de détruire ce qu’il reste du tissu social de nombreux pays
Européens.
Le 9 janvier 2020, l’Institut Supérieur de
Santé de Rome (Istituto Superiore di Sanità) déclarait: «L’attention doit donc rester élevée, tant dans le cas spécifique de
l’épidémie de Bergame que dans le cas de cas isolés qui pourraient survenir.
Pour soutenir le suivi et la gestion des cas et des flambées, la coordination
nationale du système de surveillance des maladies bactériennes invasives de
Neisseria meningitidis, Streptococcus pneumoniae et Haemophilus influenzae et
de la méningite bactérienne est active au sein du service des maladies
infectieuses de l’ISS. De plus, grâce aux travaux du Laboratoire national de
référence pour le méningocoque, l’ISS soutient le diagnostic et le séquençage
génomique d’échantillons et les initiatives de santé publique dont la stratégie
de vaccination». [39]
Pour mémoire. Neisseria
meningitidis, ou Méningocoque, est une bactérie induisant des méningites.
Haemophilus influenzae, autrefois appelée Bacille de Pfeiffer, est une bactérie
présente dans plus de la moitié de la population – considérée comme porteuse
saine. Elle profite de l’affaiblissement de l’organisme humain pour générer des
pathologies telles que: otite, sinusite, méningite, bronchite, pneumopathie,
septicémie… Streptococcus pneumoniae, ou pneumocoque, est une bactérie
induisant plusieurs types d’infections: otite, sinusite, méningite, bronchite,
pneumopathie, septicémie… Il en existe de nombreuses souches qui sont devenues
totalement résistantes aux antibiotiques.
Lorsque l’on consulte la fiche Vidal pour le
vaccin Méningitec, par exemple, cela fait frissonner. En fait, ce vaccin, comme
tous les vaccins antiméningococciques – et, en fait, comme tous les
vaccins – est hautement dangereux et j’invite les lecteurs à consulter la page
du site Initiative Citoyenne concernant ces vaccins antiméningococciques
génocidaires. [43]
La région autonome de Sardaigne a publié une
étude en 2019 sur le thème de la vaccination antiméningococcique. [34]
De plus, il est à noter qu’une étude de septembre 2018 intitulée “Do Tuscan
people adhere to meningococcal C vaccination during an emergency campaign?”
s’interrogeait quant à l’acceptation, par la population de Toscane, d’une
vaccination antiméningococcique suite à une “épidémie”, en 2015, générant 52
cas d’infection. Lors de cette campagne, les personnes de plus de 55 ans d’âge
furent informées que la médecine conventionnelle ne pouvait assurer aucune
certitude de protection conférée par ce type de vaccins. Pour la tranche d’âge
de 11 à 45 ans, ce sont 64 998 personnes qui furent vaccinées à Florence et en
Toscane – à savoir une couverture de 21%. [37]
Le but affiché était également de
réduire l’incidence de la méningite, en vaccinant en priorité les plus jeunes,
et les adolescents, afin de développer le concept très prisé, et complètement
débile, “d’immunité de troupeau”. La tranche d’âge de 11 à 20 ans fut, ainsi,
couverte à 47%. C’est en 2005 que la vaccination à l’encontre de la méningite C
fut introduite, en Italie, pour les nourrisson âgés de douze mois. [36]
De plus, on entend, dernièrement, des
témoignages provenant d’Italie quant à la découverte, par des médecins de
Lombardie, de formes bizarres de pneumonie
nécessitant des analyses spéciales de scanner et autres – et datant d’octobre, novembre et décembre 2019.
C’est ce qu’affirme, par exemple, le Professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de
l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologique de Milan. [60] Ne pourrait-on pas suspecter que ces
nouvelles formes de pneumonie non habituelles soient, également, générées par
la campagne de vaccination anti-méningite qui était, déjà, bien en cours durant
l’automne 2019? [61] A
savoir, bien avant cette campagne de vaccination systématique qui eut lieu
durant les deux premières semaines de janvier 2020 dans la région de Bergama –
et dont furent victimes 35 000 personnes (et selon d’autres sources
locales, environ 45 000 personnes).
En Italie, selon les
statistiques officielles du Ministère Italien de la Santé, ce sont 2 400 000
personnes, dans ce pays, qui souffrent de Maladie Pulmonaire Obstructive
Chronique – et de 20 à 40 % développent pleinement cette pathologie. Selon le
Professeur Yoram Lass, ancien ministre de la Santé en Israël, «L’Italie est réputée pour son énorme
morbidité en ce qui concerne les problèmes respiratoires, plus que trois plus
que dans les autres pays Européens… De plus, chaque année, en Italie, ce sont
17 000 Italiens qui décèdent de la grippe».
Le Professeur Yoram Lass est,
présentement, très critiqué, en Israël, pour avoir osé affirmer que le
coronavirus est un virus avec des relations publiques, que la presse est
hystérique et qu’il est criminel de confiner les gens car il y aura plus de
décès par dépression que par coronavirose. [66]
En Italie, de plus, la
Lombardie et le nord du pays se caractérisent par une population très
âgée, par une population de très gros fumeurs de tabac (à savoir de cigarettes
chimiques toxiques) et par une extrême pollution atmosphérique.
Selon les photographies
satellitaires, c’est l’Italie du nord qui constitue la région la plus polluée
d’Europe. Certains chercheurs ont, d’ailleurs, fait remarquer que le pic de
cas, souffrant de détresse respiratoire, à Wuhan, en janvier 2020, fut
concomittant d’une vague d’extrême pollution. [68] Wuhan fut le théâtre de mouvements de protestations,
durant l’été 2019, à l’encontre de cette extrême pollution caractérisant la
capitale de la province d’Hubei. [69]
Rappelons, de nouveau, que
la moyenne d’âge des décès, attribués à la coronavirose, en Italie, est de 79,5
ans: à savoir quasiment 90% des décédés ont plus de 70 ans et 10 % des décédés
ont plus de 90 ans. Faut-il rappeler, de plus, que ce sont environ 633 000
décès qui ont été enregistrés en Italie, en 2018, à savoir 1735 par jour – de
causes diverses et variées.
Selon le 20 ème Congrès, de
l’automne 2019, de l’AIPO (Association Italienne des pneumologues
hospitaliers), les maladies respiratoires constituent, ainsi, en Italie, la
troisième cause de décès après les maladies cardiovasculaires et le cancer.
Plus de 11 000 personnes décèdent, dans ce pays, par exemple, de
bronco-pneumonie, chaque année.
Se rappelle-t-on qu’en janvier 2018,
suite à une mauvaise grippe, les hôpitaux de Lombardie étaient en panique à
cause du manque de places disponibles dans les services de réanimation? Cette
problématique sévissait, alors, dans les hôpitaux de Policlinico, San Raffaele,
San Gerardo de Monza et San Matteo de Pavie. Il n’était, alors, pas question de
Covid… N’est-ce pas? [71]
Selon des statistiques officielles,
portant sur l’année 2014 et concernant l’Italie, ce sont 20 234 personnes qui
sont décédées de maladies des voies respiratoires et ce sont 33 386 personnes
qui sont décédées de tumeurs et cancers de la trachée, des poumons et des
bronches.
Ce sont, ainsi, 54 000 personnes qui sont
décédées de maladies respiratoires, en Italie, en 2014 – à savoir 147 par jour. [67] Pour une population de 60 millions.
Ce chiffre est à rapprocher de
celui, commenté plus bas, de 37 144 personnes décédées, en 2015, de Maladies
Pulmonaires Obstructives Chroniques, dans la province d’Hubei, en Chine, une
province de 70 millions d’habitants. A
savoir 102 personnes par jour.
Ce chiffre est à rapprocher,
également, du nombre oficiel de personnes décédées en Espagne, de maladies
pulmonaires, à savoir, 46 812 personnes, en 2016, pour une population de 47
millions d’habitants. [70] A
savoir 128 personnes par jour.
En France, selon les chiffres
apportés par l’Inserm, ce sont environ 17 000 personnes qui meurent chaque année
de bronchopneumopathie chronique obstructive – à savoir 47 décès par jour. En 2013, environ
145 000 personnes atteintes de formes sévères de cette pathologie ont bénéficié d’une oxygénothérapie de longue durée
(associée ou non à un traitement par ventilation) – à savoir 400 personnes par
jour. Pour une population de 67 millions d’habitants.
De plus, en France, selon les
statistiques officielles, ce sont environ 31 000 personnes qui décèdent du
cancer des poumons, tous les ans – à
savoir 85 décès par jour. Question: combien de ces personnes atteintes d’un
cancer terminal des poumons sont accueillies, dans les hôpitaux, en service de
réanimation oxygénée? De plus, rappelons que ce sont 150 000 personnes qui
décèdent annuellement de cancers en France – et les cancers ne sont pas tombés
du ciel.
La Grippe Espagnole de 1918/1920 fut une Pneumonie
Bactérienne
Le 4 mars 1918, le caporal Albert Gitchell de
l’Armée US rapporta qu’une centaine de soldats du Camp Funston à Fort Riley, au
Kansas, souffraient de symptômes de type grippal. Ce sont ces militaires qui
constituèrent, ainsi, la première vague des victimes de ce qui fut appelé
subséquemment, par les Autorités, la “Grippe Espagnole”. Cette épidémie se
répandit rapidement dans d’autres camps militaires, et prisons, et puis,
ensuite, sur les champs de bataille de la Première Grande Boucherie Mondiale –
car ce furent 84 000 soldats US qui débarquèrent en Europe, en mars 1918,
suivis de 118 000 soldats US, en avril 1918. La “Grippe Espagnole” tua 675 000
personnes aux USA et jusqu’à 65 millions de personnes, de par le monde, selon
les estimations les plus élevées.
La “Grippe Espagnole” ne fut jamais une grippe virale mais
une pneumonie bactérienne induite par une campagne de vaccinations
expérimentales.
En effet, du 21 janvier au 4 juin 1918, les
soldats du Camp Funston, au Kansas, constituèrent les sujets expérimentaux, les
cobayes, d’une nouvelle vaccination, à l’encontre de la méningite bactérienne,
issue de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale de New-York, et
concoctée par le Lieutenant Peter K. Olitsky. Le rapport expliquant, dans le
détail, les diverses procédures de vaccination est intitulé “A report on
antimeningitis vaccination and observations on agglutinins in the blood of
chronic meningococcus carriers” et il date du 20 juin 1918.
Selon ce rapport – rédigé par l’eugéniste
Frédérick Gates – ce sont la quasi totalité des soldats du 342 ème Régiment
d’Artillerie de Terre qui se portèrent volontaires pour cette vaccination suite
à un seul cas de méningite, dans ce régiment, en Octobre/Novembre 1917. Ce
rapport fait, ainsi, état de plus de 5000 soldats utilisés comme cobayes. Cette
campagne expérimentale de vaccinations comprenait trois injections de 2000
millions, de 4000 millions et de 4000 à 8000 millions de méningocoques à
quelques semaines d’intervalle. [19]
[20]
Frédérick Gates rédigea également une autre
étude, en juin 1918, intitulé “Antibody Production after Partial Adrenalectomy
in Guinea Pigs”. [21]
Cette étude faisait suite à deux autres du même genre: une, de 1907, intitulée
“Serum Treatment of Epidemic Cerebro-Spinal Meningitis”, de Simon Flexner et
Joblings, [22]
et une, de 1916, intitulée “A Method for the Rapid Preparation of
Antimeningitis Serum”, de Amos et Wellstein. [23]
Simon Flexner fut le premier
directeur du Rockefeller Institute for Medical Research – de 1901 à 1935. [28] Il travaillait plus spécifiquement sur les
vaccins anti-polio. C’est son frère Abraham Flexner qui fut l’auteur de
l’infâme “Flexner Report” qui fit fermer la moitié des écoles de médecine aux
USA.
A
savoir : c’est Abraham Flexner qui fit fermer toutes les écoles médicales, aux
USA, qui enseignaient l’homéopathie – afin de promouvoir la Pharmacratie
Industrielle, l’allopathie et ses vaccins toxiques.
A cette époque, Karl Landsteiner
travaillait également sur la poliomyélite et c’est à l’Institut Pasteur de
Paris qu’il effectua ses expérimentations criminelles sur les singes de cet Institut
Pasteur – tout autant criminel. [25]
Le Rockefeller Institute for Medical
Research fut créé, en 1901, par John D. Rockefeller. Son directeur était
William Welch, un eugéniste, un membre de la Fraternité Skull and Bones de
l’Université Yales et un directeur de l’Eugenics Record Office Records – ainsi
qu’il est stipulé dans cette étude, de 2018, intitulée “The power of heredity
and the relevance of eugenic history”. [26]
Voici la contribution essentielle de la
Doctoresse Eleanor McBean qui fut témoin de cette tragédie sanitaire en 1918.
C’est un extrait de son ouvrage “Swine flu Exposed” de 1977 et la traduction
est celle de Pierre Marie au Québec. [24]
«J’ai été
témoin sur place de l’épidémie de grippe de 1918. Tous les médecins et les gens
qui ont vécu à l’époque de l’épidémie de grippe espagnole de 1918 disent que ce
fut la maladie la plus terrible que le monde ait jamais connue. Des hommes
vigoureux et robustes pouvaient ainsi mourir du jour au lendemain. La maladie présentait les aspects de la
peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la
pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies
contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première
guerre mondiale. On avait administré
quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La
situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces
maladies engendrées par la médecine.
La
pandémie s’éternisa deux ans, nourrie
par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la
grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la
vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations ; c’est ainsi que nous
sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les
enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres qu’on ne peut contaminer le
corps avec de poisons sans que celui-ci ne devienne malade.
Quand
l’épidémie atteignit son paroxysme, tous les magasins, les écoles, les
entreprises étaient fermés et même jusqu’à l’hôpital. Les infirmières et les médecins qui s’étaient fait vacciner étaient
terrassés par la maladie. On ne voyait plus personne dans les rues. La
ville était devenue une ville fantôme. Comme notre famille (qui n’avait pas
accepté les vaccinations) semblait être une des rares familles à ne pas avoir
attrapé la grippe, mes parents couraient de maison en maison pour s’occuper des
malades, vu qu’il était impossible de trouver un médecin. Si c’étaient les
germes, les bactéries, les virus ou les bacilles qui devaient en fait provoquer
la maladie, ils auraient eu cent fois l’occasion de s’attaquer à mes parents
qui passaient plusieurs heures par jour dans les chambres de malades. Pourtant
mes parents ne contractèrent jamais la grippe et ne rapportèrent à la maison
aucun germe qui aurait pu s’attaquer aux enfants. Aucun membre de notre famille
ne fut atteint par la grippe ; il n’y eut même pas le moindre rhume alors que
l’hiver était rude et la neige épaisse.
On a dit
que l’épidémie de grippe de 1918 avait tué 20.000.000 de personnes dans le
monde. Mais en fait ce furent les
médecins qui occasionnèrent cette hécatombe avec leurs traitements grossiers et
meurtriers. C’est
une terrible accusation, mais elle n’en demeure pas moins vraie, s’il faut en
juger par les succès obtenus par les
médecins n’utilisant pas les médicaments.
Alors que
pour les médecins et les hôpitaux traditionnels, les décès s’élevaient à 33%,
les autres hôpitaux (non traditionnels) comme Battle Creek, Kellogg, MacFadde’s
Health-Restorium, obtenaient
pratiquement 100% de guérisons avec des méthodes naturelles simples comme les
cures d’eau, les bains, les lavements, le jeûne, des régimes alimentaires très
bien étudiés comprenant
essentiellement de la nourriture naturelle. Un médecin que nous avons connu n’a pas perdu un seul patient de la
grippe en huit ans…
Si les
médecins classiques avaient été aussi éclairés que les thérapeutes utilisant
les méthodes naturelles, on n’aurait sûrement jamais parlé de 20.000.000 morts
suite au traitement médical officiel de la grippe.
Chez les militaires vaccinés, la maladie a frappé sept
fois plus que chez les civils non vaccinés. Ces soldats souffraient en fait des
maladies contre lesquelles ils avaient été vaccinés. Un soldat qui, en 1912, était
rentré des territoires d’outre mer m’avait confié que les hôpitaux militaires
étaient remplis de cas de paralysie infantile et il se demandait comment il
était possible que des adultes puissent contracter une maladie d’enfance. Nous
savons maintenant que la paralysie est une suite classique d’un empoisonnement
vaccinal. Chez nous la paralysie n’est apparue qu’après la campagne de vaccination
massive de 1918.»
Les passages soulignés sont de mon fait afin de
mettre en exergue le fait que cette pandémie de pneumonie bactérienne se
manifestait selon de multiples formes pathologiques et qu’elle ne frappait
presqu’exclusivement que les personnes vaccinées ou médicamentées sous des
formes allopathiques.
« La maladie présentait les aspects
de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la
pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies
contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la première
guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques
à pratiquement toute la population.
Pour autant que j’aie pu l’observer,
la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la
vaccination échappaient à la maladie. »
Durant cette Première Grande Boucherie
Mondiale, l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale de New-York
distribua son sérum toxique et criminel anti-méningite en France, en Italie, en
Angleterre, en Belgique et en d’autres pays… ce qui amplifia d’autant plus la
“pandémie” en Europe.
C’est en 1920 que Chas. M. Higgins
publia son ouvrage de 250 pages intitulé “Horrors of Vaccination Illustrated
and Exposed”. [27] C’est un témoignage poignant de l’horreur
des vaccinations génocidaires de l’époque. Pensez-vous que la situation ait
évolué, depuis un siècle, quant à l’amplitude de l’Horreur Vaccinale?
De plus, ainsi qu’Eleanor McBean le mentionne
lorsqu’elle évoque les distributions de très hautes doses de médicaments de
toutes sortes – dont les populations furent les cobayes – il est fort probable
qu’une partie des décès, lors de la pandémie de 1918/1920, puisse être
attribuable à l’usage inconsidéré de l’aspirine. Ou du moins, il est fort
probable que l’aspirine ait été un facteur extrêmement aggravant ainsi qu’il
est stipulé dans cette étude de 2009 intitulée “Salicylates and pandemic
influenza mortality, 1918-1919 pharmacology, pathology, and historic evidence.”
[51]
Je remercie Yves Rasir de m’avoir
envoyé cette info relative à l’usage de l’aspirine en 1918/1920. Yves est
éditeur en Belgique, d’ouvrages en Français, dont des ouvrages dans la ligne de
la Nouvelle Médecine Allemande de Ryke Hamer, de Stephan Lanka, de Robert
Guinée, etc. [52] Ces ouvrages constituent le fondement
indispensable d’un nouveau paradigme thérapeutique… Cf. son interview du
Docteur Claude Sabbah sur les liens entre la Médecine de Ryke Hamer et la
Biologie Totale des Etres Vivants. [53]
Je remercie, de plus, le blog
Bistrobar qui m’a transféré des articles rédigés dans la lignée de cette même
Nouvelle Médecine Allemande de Ryke Hamer et commentant le non-existant
Covid/2019. Cocher sur les liens. [54] [55]
C’est bien souvent la “narration
mentale” qui crée la pathologie… et non pas le contraire.
La nature de pneumonie bactérienne, de cette
pandémie, a été mise en exergue par diverses études dont celle, de 2008,
intitulée “Deaths from Bacterial Pneumonia during 1918–19 Influenza Pandemic”
et publiée par des chercheurs vaccinalistes de l’Armée Australienne.
« Les
décès, durant la pandémie de grippe de 1918/1919 ont été attribués à une souche
hyper-virulente de grippe. C’est ainsi que les préparatifs, pour la prochaine
pandémie, se focalisent presqu’exclusivement sur une prévention vaccinale et
des traitement antiviraux en cas d’infection par une nouvelle souche de grippe.
Cependant, nous partons de l’hypothèse que les infections, générées par cette
souche pandémique, induisirent des pathologies très limitées (rarement
mortelles) qui ont permis à des souches colonisatrices de bactéries de générer
des pneumonies hautement mortelles. Cette hypothèse d’infection séquentielle
est confirmée par les caractéristiques de la pandémie de 1918/1919, par les
opinions des experts de l’époque, et par notre connaissance actuelle en ce qui
concerne les effets pathophysiologiques des virus de grippe et de leur
interaction avec des bactéries respiratoires. Cette hypothèse suggère des
opportunités pour la prévention et le traitement durant la prochaine pandémie
(à savoir impliquant des vaccins bactériens et des traitements anti-microbiens),
plus particulièrement si un vaccin spécifique à une souche pandémique n’est pas
encore disponible ou n’est pas accessible à des populations isolées, trop
importantes, sur le plan de la démographie, ou médicalement oubliées». [29]
Cette même année 2008 a vu la publication d’une
autre étude dressant les mêmes conclusions. Cette étude intitulée “Predominant
Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza:
Implications for Pandemic Influenza Preparedness” fut publiée par l’équipe,
très vaccinaliste, de Jeffery K. Taubenberger.
« Malgré
la disponibilité de données publiées sur les quatre pandémies qui se sont
manifestées durant les 120 dernières années, il n’existe que peu d’information
récente quant aux causes de décès associées avec les pandémies de grippes. Nous
avons, ainsi, examiné les données pertinentes corrélées à la pandémie de grippe
la plus récente qui s’est manifestée avant l’usage d’antibiotiques, à savoir la
pandémie de la “Grippe Espagnole”. Nous avons examiné des fragments de tissus
pulmonaires obtenus à partir de 58 autopsies (de cadavres) et nous avons révisé
les données pathologiques et bactériologiques fournies par 109 séries
d’autopsies publiées décrivant 8398 investigations d’autopsie individuelle.
La
majorité des décès survenus durant la pandémie de grippe de 1918/1919
résultèrent, très probablement, d’une pneumonie bactérienne secondaire
provoquée par des bactéries communes du système respiratoire supérieur. Des
données moins substantielles – émanant des pandémies subséquentes de 1957 et de
1968 – confirment ces découvertes. Si une pandémie grippale sévère s’avère être
principalement un problème de co-pathogénèse virale-bactérienne, la préparation
vis à vis de pandémies nécessite d’aller au-delà de la seule cause virale (à
savoir de promouvoir des vaccins our la grippe et des remèdes antiviraux). La
prévention, le diagnostic, la prophylaxie et le traitement des pneumonies
bactériennes secondaires, tout autant que le stockage de vaccins bactériens et
d’antibiotiques, devraient constituer les plus hautes priorités en vue d’une
préparation à la pandémie». [30]
Ces chercheurs découvrirent des
streptocoques, ou des pneumocoques, dans 98,2% des fragments de tissus
pulmonaires examinés – mettant, ainsi, en exergue la nature strictement
bactérienne de cette hécatombe.
Prétendre que la souche virale
n’était en rien dangereuse et émettre l’hypothèse d’une infection séquentielle
de type pneumonie bactérienne… n’est que de la poudre aux yeux. La pneumonie bactérienne constituait
l’infection première et le virus H1N1 de la “Grippe Espagnole” n’a jamais
existé.
Si l’on résume la version officielle. Selon le
rapport ci-dessus cité, l’eugéniste Frédérick Gates – l’un des principaux
instigateurs de la création de l’Institut Rockefeller pour la Recherche
Médicale et, même, de la Fondation Rockefeller – des milliers de soldats eurent
plusieurs injections, dosées au petit bonheur la malchance, d’un vaccin
expérimental à l’encontre de la méningite bactérienne. Ces soldats
développèrent, alors, des symptomes qui “simulaient”
une méningite et Frédérick Gates, avec grand aplomb, affirma qu’il ne
s’agissait pas d’une méningite réelle – juste d’une simulation. C’est cette
simulation de méningite qui fut l’initiatrice de la pandémie de 1918/1920.
Ce fut le début de la grande
arnaque, de la grande supercherie, de l’hallucination collective dénommée “Pandémie
de Grippe Espagnole de 1918/1920” – un avant-goût de la seconde arnaque du
siècle dénommée pandémie Covid/2019 sévissant en 2020, juste 100 années après
la fin de la dite “Grippe Espagnole”. Tout va bien?
Selon Jeffery K. Taubenberger, l’un des auteurs
de la précédent étude, toutes les pandémies grippales récentes seraient issues
de mutations de la “pandémie virale” (de type H1N1) de 1918-1920: à savoir la
souche de Grippe Asiatique H2N2 (1957-1958), la souche de la Grippe de
Hong-Kong H3N2 (1968-1969), la fausse pandémie de Grippe Porcine H1N1
(2009-2010), etc, ad nauseam.
Jeffery K. Taubenberger a, même, été financé
par la Fondation Gates et le DARPA du Ministère de la Défense US) pour
reconstruire génomiquement la souche du virus de la “Grippe Espagnole” – qui
était une pneumonie bactérienne… Son étude est intitulée “Reconstruction of the
1918 Influenza Virus: Unexpected Rewards from the Past”. [31]
La grande supercherie de Jeffery K. Taubenberger
constitue à prétendre, encore et toujours, que l’origine de la “Grippe
Espagnole” se trouve dans une méchante souche de grippe aviaire qui, par
malchance, a justement agressé des milliers de soldats, au Kansas, qui
venaient, juste, de se porter volontaires pour être les cobayes d’une
expérimentation vaccinale à l’encontre de la méningite bactérienne.
Ou était-ce alors une grippe aviaire
qui aurait méchamment agressé un troupeau de porcs au préalable – car les
souches de “grippes aviaires” ne sont pas réputées sauter sur les humains aussi
facilement. C’est effectivement une fâcheuse coïncidence que la seule mutation,
aux USA, de cette souche H1N1 se soit développée justement dans la région de
Fort Riley, au Kansas, où étaient cantonnés des milliers de soldats fraichement
vaccinés… et sur le départ vers l’Europe afin de participer à la Première
Grande Boucherie Internationale (la Seconde Boucherie Franco-Allemande suivant
la première de 1870/1871). Faut-il vous l’envelopper ou est-ce pour lobotomiser
de suite?
Selon cette histoire à dormir debout, cette
souche H1N1 humaine fut ensuite transmise aux porcs vers 1918 qui l’ont gardé,
bien au chaud et très précieusement, pendant 90 ans, sous la forme d’une souche
virale porcine différenciée – à savoir différenciée de la souche humaine H1N1
virale pandémique primitive de 1918.
Je n’ai plus le courage de traduire
de l’anglais les divagations génétiques de ces scientifiques criminels eu égard
à des virus qui n’ont jamais existé, qui n’ont jamais été isolés et qui
constituent de la pure science-fiction. Voir l’ouvrage d’Eleanor McBean
intitulé “Swine Flue Expose” [49]
Ce qui ressort de cette gigantesque arnaque
pseudo-scientifique [31]
c’est que Jeffery K. Taubenberger, et son gang de collaborateurs eugénistes,
ont pour objectif final et exclusif de développer une vaccination anti-grippale
universelle, donc anti-virale, qui serait valable pour toutes les souches de
grippes passées, présentes et à venir.
Ce n’est pas la peine de chercher
des photographies de virus pathogènes “isolés” sur internet. Il n’existe que
des modélisations en 3D, des rendus artistiques dotés d’une myriade de couleurs
psychédéliques. Les virus pathogènes possèdent-ils, donc, une existence
existentielle réelle, au fait? Ou ne sont-ils alors que de pures constructions
de laboratoires?
Les seules photos que l’on trouve
sur internet – ainsi que Stephan Lanka l’a amplement prouvé – des virus
pathogènes de la polio, de la rougeole, de la variole, de l’herpès, de
l’hépatite A, de la grippe A, du Sida/HIV, de l’Ebola… ne sont que des rendus
artistiques, à l’intérieur de cellules, d’une prétendue charge virale. [32]
Les Mensonges d’Etat sont Récusés par les Etudes
Récentes Emanant du Paradigme Officiel
Caveat. Dans cette partie de mon
article, je reprends des études très récentes émanant de la “partie adverse”,
si je puis dire, à savoir émanant de scientifiques qui ne remettent pas en
cause l’hallucination collective eu égard à l’existence d’un Covid/2019 – mais
qui remettent en cause, nonobstant, les mensonges de la Macronie et de tous les
Etats, de par le monde, car cette opération psychologique spéciale, de type
9/11, possède aujourd’hui une envergure planétaire.
Le 19 mars 2020, la Revue Nature a publié une
étude intitulée “Estimating clinical severity of COVID-19 from the transmission
dynamics in Wuhan, China”. Nous y apprenons, qu’au 29 février 2020, ce sont 2838 personnes qui sont décédées
de problèmes respiratoires libellés sous la dénomination “Covid/19”, à Wuhan
même – et depuis, la mi-décembre 2019. [17]
Cette étude stipule, de plus, que le taux de mortalité, eu égard au nombre de
“cas dénommés positifs” serait, donc, de 1,4% – et de 0,6% pour les moins de 30
ans et de 5,1% pour les plus de 59 ans.
Si je puis réitérer ce que j’ai déjà relaté
dans mon dernier essai. Pour la province de Hubei, la plus touchée –
supposément – par le Covid/19, ce sont 37 144 personnes qui sont décédées, en
2015, de Maladies Pulmonaires Obstructives Chroniques. Cela correspond à 102
personnes par jour – donc, 25 personnes, par jour, à Wuhan même, dans la mesure
où le quart de la population de la province d’Hubei y est concentré. [16]
Cela veut dire qu’en temps normal – à savoir,
hors psychose générée par l’Etat Chinois – ce sont 1875 personnes qui meurent ,
à Wuhan même, (en deux mois et demis) de Maladies Pulmonaires Obstructives
Chroniques. Ces statistiques ne prennent pas en compte l’accroissement naturel
annuel de la démographie Chinoise, à savoir 0,37 %. Ce chiffre met en valeur
que le différentiel, d’environ 1000 personnes, doit être imputé, premièrement,
à la Psychose d’Etat et, secondement, aux pathologies sévères, dont souffraient
les décédés, auparavant – ainsi que l’étude Italienne du 18 mars 2020 le met en
exergue.
Devons-nous en conclure que l’épopée
de Covid/19, dans “l’épicentre” de Wuhan fut une construction de l’Etat
Chinois? Très certainement.
En effet, l’Institut Supérieur de Santé de
Rome, le 18 mars, a publié sa première évaluation – présentée sous la plume des
journalistes de Bloomberg, Tommaso Ebhardt, Chiara Remondini et Marco Bertacche
– de l’état de santé de tous les Italiens prétendument décédés du Covid/19. Cet
Institut a examiné les bilans médicaux de 18% des 2500 décédés en Italie. Près
de la moitié des “victimes” souffraient, déjà, d’au moins trois pathologies
majeures. Un quart des “victimes” souffraient, déjà, d’au moins une ou deux
pathologies majeures. Plus de 75% d’entre elles souffraient d’hypertension
artérielle et un tiers souffraient de pathologies cardiaques. La moyenne d’âge
des décès est de 79 ans. Les quelques “victimes” en-dessous de 40 ans
souffraient, déjà, de pathologies très sévères. [7]
[8]
En conclusion, 99% des personnes décédées souffraient, auparavant, de très
lourdes pathologies. Pour la
traduction en français sur le site Turbulence: [50]
Tous ceux qui annoncent que 70 % des
Français – ou des Allemands ou de la population mondiale – vont
contracter ce virus sont des criminels, tout autant que ceux qui annoncent,
triomphalement, qu’une seconde vague va frapper la tranche d’âge de 30 à 50
ans.
Selon les données publiées, le 18
mars 2020, par l’Institut Supérieur de Santé de Rome, 98% des décès “attribués”
au Covid/2019 se situent dans la tranche d’âge de 60 à 90 ans et 87% se situent
dans la tranche d’âge de 70 à 90 ans. [59] Selon le Professeur Ricciardi, cet Institut
considère que seulement 12% des
certificats de décès attribués au Covid/2019 ont un lien direct avec le
“coronavirus”….
Le 5 mars 2020, la London School of Hygiene and
Tropical Medicine, a publié une étude qui met en exergue la dichotomie entre,
d’une part, les discours officiels quant à la coronavirose covid/19 et, d’autre
part, les bilans réels, et non trafiqués, qui ont été publiés eu égard aux
individus testés positifs, et décédés, qui furent séquestrés pendant un mois
entier sur le navire de plaisance Diamond Princess: à savoir 7 décès sur 3711
passagers et un pourcentage très bas de positifs symptomatiques ou
asymptomatiques. [10]
[11]
Cette étude est totalement, et
strictement, en phase avec les déclarations récentes du Professeur Didier
Raoult. Qui sont les réels propagateurs de fakenews et de psychose assassine?
Le Professeur Didier Raoult est une éminence
mondiale de la virologie et de la bactériologie – s’il en est. C’est même un
vaccinaliste, même si modéré. On peut difficilement l’accuser de
“conspirationnisme”!! Il fait partie du haut-comité scientifique – créé par la
Macronie, ex nihilo – et précise: « J’y
dis ce que je pense, mais ce n’est pas traduit en acte. On appelle cela, des
conseils scientifiques, mais ils sont politiques. J’y suis comme un
extra-terrestre».
Le Professeur Didier Raoult accuse les
Décodeurs du Monde et Fakebook d’avoir catalogué ses vidéos en fake-news. Il
précise, dans un interview du 16 mars 2020, publié chez Marianne que: «La dangerosité, je ne sais pas ce que cela
veut dire. Elle dépend de l’échantillon qu’on observe. On peut regarder en
Corée du Sud où l’on a fait ce que je préconise depuis le début, à savoir
détecter et traiter, ou dans la plus grande folie réalisée au Japon en coinçant
des personnes âgées sur un bateau de croisière, un modèle expérimental
équivalent à mettre ensemble vingt souris dont quatre infectées pour regarder
combien seront contaminées.» [12]
Pour ricocher sur son commentaire quant à la
pseudo-dangerosité du phénomène dénommé Covid/19, la Revue Nature Medecine a
publié, le 17 mars 2020, une étude Australienne intitulée “Breadth of
concomitant immune responses prior to patient recovery: a case report of
non-severe COVID-19” [13]
mettant en exergue la capacité du corps physique de combattre le dénommé
Covid/19, d’éliminer l’infection en l’espace de quelques jours, de recouvrer
une bonne santé… tout comme dans les situations les plus classiques de grippe
annuelle. Un résumé de cette étude est présenté sur le site de l’Université de
Melbourne. [14] Selon le Professeur Kedzierska: «Nous avons démontré que même si le COVID/19 est généré par un nouveau
virus, une réaction immunitaire robuste, dans un spectre de divers types de
cellules, chez toute personne en bonne santé, était concomitante d’un
recouvrement clinique similaire à ce que l’on peut percevoir avec la grippe.»
Selon cette étude, plus de 80% des cas de Covid/19 sont bénins à modérés.
Dossier à Suivre. Je suis à l’écoute
de tous commentaires et contributions. xochi@ganjalkemia.com
Xochi le
22 mars de l’An 02 des Gilets Jaunes.
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Pharmaceutique, Monographies
par xochipelli. Mettez-le en
favori avec son permalien.
le fouineur amateur (mais néanmoins très
pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier
dernier, la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de
vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite
bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales
ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En
quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique
m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale :
comme vous pouvez le vérifier en cliquant
ici
Ultimo aggiornamento: 31/10/2019
Vaccinazioni antimeningococco in Regione Lombardia
La vaccinazione è considerata
universalmente come il metodo più efficace nella prevenzione delle malattie
infettive.
Per tale ragione, attraverso il Piano nazionale
di prevenzione vaccinale ed i conseguenti piani regionali, regioni
e ministero definiscono d’intesa le offerte attive e gratuite di alcuni vaccini
per il raggiungimento di obiettivi di eliminazione o controllo di determinate
malattie infettive in relazione al quadro epidemiologico nazionale ed
internazionale.
Per la prevenzione delle malattie invasive
batteriche da meningococco, sono disponibili:
1 - Offerta gratuita di :
• vaccinazione antimeningococco C al 13°-15° mese di vita e fino al
compimento di 11 anni di età
• vaccinazione antimeningococco ACWY per gli adolescenti dagli 11 ai 17
anni di età
• vaccinazione antimeningococco B per i nuovi nati dal 2017
•
vaccinazioni antimeningococco B e
ACWY per le categorie a rischio
2 - Accesso alle vaccinazioni
antimeningococco per protezione individuale, con la formula del co-pagamento,
per i soggetti non inclusi nelle categorie descritte al punto 1.
Per queste vaccinazioni si potrà accedere al
servizio previo appuntamento, telefonando ai seguenti recapiti:
ASST Lecco :
0341 253900 da lunedì a venerdì dalle
9.00 alle 12.00 e dalle 13.30 alle 16.00
cuv.lecco@asst-lecco.it
cuv@pec.asst-lecco.it
cuv.lecco@asst-lecco.it
cuv@pec.asst-lecco.it
ASST
Monza presso le Sedi vaccinali territoriali
La Vaccinazione Antimeningococco Tetravalente
ACWY, dai 18 anni compiuti e per la sola modalità in co-pagamento, è effettuata
anche presso l' ASST Monza - Azienda Socio Sanitaria Territoriale
Monza - Ospedale San Gerardo.
Modalità di prenotazione:
- Call Center Regionale 800.638.638, da Lunedì a Sabato dalle 08.00 - 20.00.
- Sportelli CUP - Ospedale San Gerardo, Ingresso Palazzina Accoglienza piano terra, da Lunedì a Venerdì, non festivi, dalle 07.30 - 18.00 e il Sabato, non festivo, dalle 07.30 - 12.30.
- Poliambulatorio di Monza (Ospedale Vecchio), Via Solferino 16 Lunedì - Venerdì, non festivi, dalle 08.00 - 17.00
- Poliambulatorio di Brugherio, Viale Lombardia 270
Lunedì - Venerdì, non festivi, dalle 08.00 - 15.15.
Modalità di prenotazione:
- Call Center Regionale 800.638.638, da Lunedì a Sabato dalle 08.00 - 20.00.
- Sportelli CUP - Ospedale San Gerardo, Ingresso Palazzina Accoglienza piano terra, da Lunedì a Venerdì, non festivi, dalle 07.30 - 18.00 e il Sabato, non festivo, dalle 07.30 - 12.30.
- Poliambulatorio di Monza (Ospedale Vecchio), Via Solferino 16 Lunedì - Venerdì, non festivi, dalle 08.00 - 17.00
- Poliambulatorio di Brugherio, Viale Lombardia 270
Lunedì - Venerdì, non festivi, dalle 08.00 - 15.15.
ASST Vimercate
•
Sede di
USMATE
- vaccinazioni pediatriche ( minori di 18 anni)
0396654981 lunedì e venerdì dalle 13.30 alle 15.30 mercoledì dalle 9.00 alle
12.00
- vaccinazioni adulti (maggiori di 18 anni) 0396654982 mercoledì dalle 12.45 alle 13.45 giovedì dalle 9.00 alle 12.30
- vaccinazioni adulti (maggiori di 18 anni) 0396654982 mercoledì dalle 12.45 alle 13.45 giovedì dalle 9.00 alle 12.30
• Sede di
CARATE
- 0362826465 lunedì e venerdì dalle 9.00 alle 11.00
• Sede di
LISSONE
- 0392434951 lunedì e mercoledì dalle 13.30 alle 15.30
• Sede di
SEREGNO
- 0362483584 martedì e venerdì dalle 13.30 alle 15.30
•
Sede di SEVESO e
MISINTO - 0362645130 lunedì dalle 13.30 alle
15.30 mercoledì dalle 9.00 alle 12.00
Il costo della
prestazione per singola dose (costo del vaccino più costo di somministrazione)
è il seguente:
-
antimeningococco B:
• Bambini fino ai 9 anni di età: BEXSERO - 76,43 € (costo
vaccino + 10% iva + costo prestazione).
•
Soggetti dai 10 anni compiuti:
TRUMENBA - 67,89 € (costo vaccino + 10% iva + costo prestazione).
- antimeningococco
C: € 20,07
- antimeningococco ACWY : € 44,27
- antimeningococco ACWY : € 44,27
Trattandosi di una scelta di protezione
individuale ed essendo la vaccinazione un intervento sanitario, è importante confrontarsi
preventivamente con il proprio curante (Medico di Medicina Generale e
Pediatra).
Si ricorda di presentarsi il giorno
dell’appuntamento muniti di tessera sanitaria e di tesserino/certificato delle
vaccinazioni pregresse.
Non è necessaria la prescrizione
del pediatra e del medico di medicina generale
Vaccinazione
meningococco B presso i Pediatri di Famiglia
Dal 15 giugno 2017 è possibile effettuare la
vaccinazione contro il meningococco B presso i propri pediatri di famiglia che
hanno aderito all’accordo regionale, approvato con Deliberazione della Giunta
n. 6612/2017.
Per effettuare la vaccinazione antimeningococco
B in co-pagamento è necessario contattare il proprio Pediatra di Famiglia, che
fornirà tutte le informazioni utili e programmerà la somministrazione secondo
il calendario per età.
Il costo totale della prestazione è di
• Bambini fino ai 9 anni di età: BEXSERO - 76,43 € (costo
vaccino + 10% iva + costo prestazione).
•
Soggetti dai 10 anni compiuti:
TRUMENBA - 67,89 € (costo vaccino + 10% iva + costo prestazione).
la campagne de vaccination était déjà en
cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en
automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres
nécessitant des examens radiologiques spéciaux. Vous ne le croyez pas ?
Regardez cette
séquence télévisée
(Enregistrée ss : vidéos )
Where is the origin of the coronavirus covid-19? Italian expert has different opnion
Famous Italian medical expert Dr. Giuseppe
Remuzzi: special pneumonia symptoms exist in October in Italy
où le
professeur Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de
Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste
plutôt énervé. Incroyable mais vrai, cette interview est passée le 22
mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi
Jinping ! Comme en atteste ce communiqué,
« (COVID-19) Des médecins italiens déclarent avoir vu des cas de pneumonie étrange avant l'épidémie de COVID-19 en Chine (presse)
WASHINGTON, 21 mars
(Xinhua) -- Des médecins généralistes italiens se souviennent d'avoir vu des
cas de pneumonie étrange depuis novembre dernier, ce qui pourrait faire penser
au fait que le virus circulait dans certaines parties de l'Italie avant que les
médecins ne soient au courant de l'épidémie de COVID-19 en Chine, a rapporté
une radio américaine, citant un article sur la crise du coronavirus paru en
Italie.
Cette information a été publiée jeudi par le
média américain National Public Radio (NPR) citant Giuseppe Remuzzi, co-auteur
d'un récent article dans The Lancet sur l'épidémie en Italie.
Selon NPR, certains se demandent pourquoi l'Italie a été prise au
dépourvu lorsque l'épidémie du nouveau coronavirus a été révélée le 21 février.
M. Remuzzi a dit qu'il entendait cette information à ce sujet auprès de
médecins généralistes.
"Ils se souviennent d'avoir vu une
pneumonie très étrange, très grave, en particulier chez les personnes âgées en
décembre voire en novembre dernier," a rapporté NPR, citant M. Remuzzi.
"Cela signifie que le virus circulait, au moins en Lombardie (région nord
de l'Italie) et avant que nous ne soyons au courant de son apparition en
Chine."
M. Remuzzi est convaincu que d'autres pays
peuvent tirer des leçons importantes de l'Italie, dont la façon de convertir
rapidement un hôpital général en une unité de soins coronavirus avec des
médecins et des infirmières spécialement formés, a déclaré NPR.
L'Italie a signalé samedi 6.557 nouveaux cas de
coronavirus, portant le nombre total à 53.578 depuis que la pandémie a éclaté
dans sa région septentrionale le 21 février, selon les dernières données
fournies par le Département de la protection civile chargé de répondre à la
situation d'urgence de COVID-19. »
la presse chinoise met le paquet sur cette
enquête car elle soupçonne le coronavirus d’avoir été importé d’Italie en
Chine ! Je m’interroge : comment se fait-il que cette
nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Si j’ai
loupé cet énorme scoop dans l’actualité, merci de me corriger.
En fait, on se fiche un peu de savoir dans quel
sens a voyagé un hypothétique virus relativement inoffensif. Ce qui est
très important à vérifier, c’est s’il y a un lien entre la vaccination et la
multiplication de pneumonies atypiques en Italie. Vous en doutez ?
La probabilité est pourtant très élevée. Parmi leurs effets secondaires
très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie
microbienne. La nature ayant horreur du vide, la niche écologique devenue
vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres
espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les
épidémies de poliomyélite ont surgi dans la foulée de la vaccination
massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E,
etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B.
Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en sévérité depuis
qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de
« remplacement épidémique » a récemment fait l’objet d’une
analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société »,
celui consacré aux méningites bactériennes. Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte
sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations
désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française
Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS (Association Liberté Information
Santé). Cet article magistral et toujours actuel est en accès libre sur
notre site et vous pouvez le consulter ici :
dossier Commentaire revue n°8 1 janvier 2012
Les écologistes nous mettent en garde contre le
réchauffement climatique, les dangers du nucléaire ou l’effondrement de la
biodiversité. Et ils ont bien raison. Mais rares sont ceux qui prennent la
mesure du principal péril menaçant l’espèce humaine : les vaccinations de masse
et leur multiplication insensée! Contrairement à ce qu’on
nous fait croire, les vaccins ne sont en effet pour rien dans le déclin des
grandes épidémies de jadis. En revanche, il y a tout lieu de penser qu’ils sont
en partie responsables des fléaux actuels et de ceux qui se profilent. Pourquoi
? Parce qu’ils modifient et perturbent profondément l’univers des virus et des
bactéries. Sous la pression vaccinale, l’écologie microbienne se transforme et
acquiert un caractère pathogène qu’elle n’aurait pas, ou n’aurait plus si
l’évolution naturelle de notre biotope était respectée. Dans ce dossier,
Françoise Joët nous explique notamment que les ravages de la tuberculose sont
clairement imputables à deux siècles de lutte artificielle contre la variole,
et que la polio n’aurait pas fait tant de dégâts sans les vaccins contre la
diphtérie et la coqueluche ! Autres exemples à l’appui, notre collaboratrice
montre bien que les vaccins constituent probablement la menace écologique
numéro un.
On le sait depuis longtemps, lorsqu’une niche
écologique reste vacante, elle est immédiatement occupée par une autre espèce,
la nature ayant horreur du vide. Ainsi a-t-on vu se succéder diverses maladies
au cours du temps, les unes remplaçant les autres avec les mêmes cycles
d’évolution : l’émergence, de fortes poussées, un palier stable puis leur
déclin. C’est en somme le schéma d’une courbe de Gauss. Le principe qui régit
ces modifications écologiques avait été défini par le Pr Marko GRMEK dans son
livre « Histoire du sida » (Ed. Payot, 1989) sous le terme de « PATHOCENOSE ».
La fréquence de chaque maladie dépend de la fréquence des autres maladies dans
la même population. « Une sorte d’unité, explique M. GRMEK, ne réunit pas
seulement toutes les maladies d’une population, et dès à présent de presque
toutes les populations du monde, mais aussi l’ensemble des microbes. Entre ces
êtres minuscules et en apparence si simples existent des équilibres subtils,
des échanges d’informations et des potentialités d’adaptation dont on commence
à peine à soupçonner l’existence. […] Quatre grandes ruptures d’équilibre
pathocénotique se sont produites dans le passé du monde occidental : au
Néolithique, avec le passage au mode de vie sédentaire ; au Haut Moyen Age,
avec les migrations des peuples venant d’Asie ; à la Renaissance avec la
découverte de l’Amérique ; et, enfin, à notre époque avec […] la chute de la
plupart des maladies infectieuses. Avec la disparition d’un plan de morbidité,
un autre apparaissait [1]». Autrement dit, dans la nature, chaque trou qui a
été creusé dans un équilibre naturel est immédiatement comblé. La pression
excessive exercée sur une espèce de bactérie ou de virus est aussitôt compensée
par le développement plus fort d’une autre espèce. La succession des maladies
dans le temps n’est pas le fruit du hasard : il faut qu’il y ait, comme on
vient de le voir, un élément déclencheur ; l’apparition d’une maladie,
l’installation d’une épidémie et leur disparition, tout à une explication.
Les grands fléaux du passé
Remontons à la peste. Voilà une maladie qui a
complètement disparu de nos contrées depuis plus de trois siècles. A l’époque
où elle faisait des ravages, on ne savait rien du monde microbien, on ne savait
rien de ce qui pouvait être à l’origine de ce fléau. Et la maladie s’étendait
par vagues successives sur les populations qui voyaient en elle un châtiment
divin. Lorsque l’on a compris que le rat était le vecteur responsable de la
contamination, par le biais des puces, poux et punaises, des mesures ont été
prises pour éviter les contacts infectants. Mais à l’époque antérieure, lorsque
l’on n’avait aucune idée de ce que pouvait être la contagion, déjà,
instinctivement on prenait des précautions de bon sens : isolement des
suspects, hospitalisation des malades, signalisation des lieux atteints,
nettoyage des rues, enterrements dans des fosses avec de la chaux et crémation
par le feu, surveillance des déplacements de marchandises, mise en quarantaine,
utilisation dans les maisons et dans les rues de plantes et d’huiles
essentielles (formule de Nostradamus entre autres et vinaigre des quatre
voleurs), cordon sanitaire à l’entrée des villes …. Progressivement ces grandes
épidémies disparurent grâce aux mesures d’hygiène et aux meilleures conditions
de vie tant dans les villes que dans les campagnes, dans tous les lieux où la
promiscuité était grande entre les hommes et entre hommes et animaux. Peu à peu
les populations s’immunisaient naturellement, mais à la faveur de
bouleversements socio-économiques, des flambées épidémiques réapparaissaient
(les guerres, par exemple, sont un facteur déterminant dans l’évolution des
épidémies lesquelles se développent surtout après les conflits). Au 18ème
siècle, la bactérie Yersina pestis, responsable de la peste, ayant pratiquement
disparu des pays industrialisés, une niche écologique restait vacante. La
nature ayant horreur du vide, comme nous l’avons dit, les microbes
automatiquement cherchent à survivre dans l’espace où ils sont le mieux. La
variole s’est alors montrée un peu plus virulente et les grandes épidémies de
variole succédèrent à celle de la peste. Or, on sait que la variolisation n’a
fait qu’accentuer les transmissions en contribuant à entretenir l’endémie et
que la vaccination de masse par la suite n’a pas permis de faire disparaître
les épidémies de variole qui sans cesse revenaient. Ce n’est que lorsque les
responsables des programmes de vaccination antivariolique à l’OMS décidèrent de
cesser les campagnes massives de vaccination que la maladie a spectaculairement
régressé. Le Pr LEVY BRUHL a d’ailleurs reconnu, verbalement, que l’on n’aurait
jamais pu vaincre la variole uniquement par la vaccination, un aveu important
quand on sait que cette maladie est toujours présentée comme un modèle pour
illustrer le triomphe de la vaccination.
La rançon du BCG
Toujours est-il que la vaccination avait
favorisé l’émergence d’un autre germe qui à son tour s’est montré virulent : le
bacille de Koch. Ainsi a-t-on vu surgir et s’amplifier la tuberculose au 19ème
siècle. Certes, la maladie existait déjà mais ne faisait pas les ravages
qu’elle a faits depuis. Là encore la vaccination par le BCG n’a rien changé à
l’emprise de la maladie dans les populations les plus vulnérables. Au
contraire, il suffit de se reporter à une citation de l’OMS elle-même pour s’en
convaincre : «Les efforts de lutte contre la tuberculose sur le plan mondial
ont échoué principalement pour les raisons suivantes : engagement politique et
financement inadaptés, organisation inadaptée, prise en charge inadaptée des
cas, confiance exagérée dans le BCG » [2]. De toute évidence, la vaccination
antivariolique systématique que l’on a pratiquée pendant près de 200 ans, a
facilité, par la niche écologique qu’elle laissait libre, l’émergence d’autres
maladies. Dans le même temps, on a vu se multiplier les cas de syphilis
favorisés par les scarifications antivarioliques. Cette maladie a disparu grâce
à l’amélioration de l’hygiène et de l’emploi des antibiotiques qui permirent
d’éviter les traitements très nocifs à base de mercure que l’on avait coutume
de prescrire. Tout se joue dans la nature par un phénomène d’alternance, rien
ne meurt, tout se transforme et tout se remplace. C’est le jeu des chaises
musicales. Lorsqu’un germe s’affaiblit, un autre qui était endormi se réveille,
ou un autre, peu agressif, se met à reprendre des forces et l’ancien est «
éliminé », il n’existe plus sous sa forme originelle et n’est plus pathogène.
Toutes les transformations qui s’opèrent dans la nature que ce soit par
mutation ou par recombinaison, ou tout simplement par substitution, suivent des
cycles plus ou moins longs selon les conditions de vie que rencontrent les
germes : si elles leur sont favorables, les épidémies peuvent durer. On sait,
grâce aux travaux de Louis Claude VINCENT, que ce sont les propriétés
physicochimiques du terrain qui conditionnent la nature des microbes qui s’y
multiplient et qui sont susceptibles de devenir pathogènes. Mais toutes les
épidémies suivent une courbe de Gauss et finissent par s’éteindre, que l’on
vaccine ou pas. Une analyse statistique, faite par le Dr VOGT en Allemagne, a
montré que lorsqu’il n’y avait pas d’épidémie de variole, personne, ni les
vaccinés, ni les non-vaccinés, ne mouraient de la petite vérole et que lors
d’une épidémie, la mort frappait aussi bien les vaccinés que les non-vaccinés
[3]. Les vaccinations de masse ont toujours été mises en place lorsque les
épidémies étaient dans leur phase descendante ou même lorsqu’elles étaient déjà
en phase d’extinction : ce ne sont donc pas les vaccins qui font disparaître
les épidémies et qui « sauvent des vies », mais bien essentiellement les
changements dans nos conditions de vie ; lorsque nos défenses naturelles sont
en état de fonctionner à plein régime, nous sommes capables de tenir en respect
les germes, de les empêcher de proliférer et de déclencher des pathologies.
Maladies modernes
Les vaccinations ont ouvert la voie à d’autres
maladies qui ont pris la place des grands fléaux d’autrefois. La guerre
planétaire que l’on a menée contre la variole, maladie virale, a bousculé en
profondeur le monde des virus. On ne s’en est pas aperçu, bien sûr. Pourtant on
constate que depuis un siècle, progressivement, on est passé des maladies
bactériennes qui donnent de la température et dont on ressort vainqueur, avec
plus de force après, aux maladies virales, multiples, plus sournoises car moins
spectaculaires (peu de fièvre, peu d’éruptions…) qui peuvent traîner, évoluer,
disparaître et réapparaître. Les virus sont des voyageurs qui délivrent des
messages aux cellules, ils n’ont donc pas de raison de devenir « méchants »,
sauf à les provoquer. Certes, certaines maladies virales sont bénignes, comme
le sont aussi certaines maladies bactériennes. En tout cas, il est un fait que
l’on ne voit plus aujourd’hui, sous nos climats, d’épidémies de peste, de
scarlatine, de typhus, de diphtérie, de variole, de syphilis, de typhoïde, etc.
En revanche, les maladies chroniques ont explosé, car les vaccinations donnent
la maladie sous sa forme chronique ; la maladie évoluant à bas bruit, sans
symptômes, elle s’installe dans la durée et sape le terrain à petit feu. «
Vacciner c’est générer une maladie chronique généralisée et définitive, afin
d’éviter une hypothétique maladie aiguë, individuelle et passagère » [Eric
ANCELET]. « Une vaccination est toujours une offense pour l’organisme » avait
dit le Pr BASTIN. Dans la mesure où effectivement le vaccin va perturber
l’écologie microbienne qui assure, quand elle est en équilibre, l’homéostasie
de chaque individu, la porte est ouverte à tous les hasards et à l’émergence de
nouvelles pathologies. Celles-ci sont la réponse à un message « dérangeant » que
reçoit l’organisme.
Exemples de modifications écologiques sous la pression vaccinale
a) Les virus de la
polio
Les virus de la polio propres à l’homme peuvent se trouver en grand nombre dans le tube digestif où ils séjournent et se reproduisent. Si rien ne les arrête, les poliovirus se dirigent par voie lymphatique vers le système nerveux central. Et s’ils parviennent à passer la barrière hémato-encéphalique, ils ont le champ libre pour endommager les neurones moteurs périphériques, provoquant une paralysie flasque suivie d’une atrophie musculaire. Pendant des siècles ces virus ne nous ont pas dérangés, ils provoquaient une immunité naturelle, et aucune maladie ne se manifestait. Selon les observations des inventeurs du vaccin, seuls trois sérotypes ne provoquaient pas d’immunité, les types I, II, et III. Pourquoi subitement dans les années 1950 ces virus sont-ils devenus agressifs ? Un facteur déclenchant a été la vaccination massive contre la coqueluche et contre la diphtérie pratiquée dès les années 1940. Voici ce qu’explique le Pr S.VAN CREVELD d’Amsterdam en 1952 [6] : Ces dernières années, on a rapporté de nombreux cas de poliomyélite consécutifs à la vaccination [anticoquelucheuse].
Mac CLOSKEY a montré qu’il existe une relation entre l’inoculation de vaccin anticoquelucheux et une poliomyélite ultérieure lorsque l’injection a été pratiquée un mois auparavant. Le membre paralysé est souvent celui où l’injection a été faite. De plus, cet auteur pense que l’inoculation du vaccin favorise l’apparition de paralysies dans les formes qui eussent été, sans cela, non paralytiques. En Australie, de janvier à novembre 1949, 675 cas de poliomyélite ont été observés dont 620 furent étudiés. 53 de ces malades avaient subi, dans les trois mois précédant les premiers symptômes de la maladie, une vaccination antidiphtérique ou anticoquelucheuse, ou les deux associées. […] Plus la dernière injection est récente, plus la relation avec la poliomyélite est évidente. Anderson et Skaar (Minnesota) ont examiné, en 1946, 2709 cas de poliomyélite au cours d’une épidémie massive. Ils ont constaté l’existence d’une relation entre l’augmentation des cas de poliomyélite et la pratique d’une vaccination quelconque ainsi qu’entre le siège de la dernière injection et celui de la paralysie. Ces auteurs ont montré également qu’il existait une relation entre la vaccination et l’apparition d’une paralysie plus grave que celle des enfants qui n’avaient pas été vaccinés. [..].De ces études, on peut déduire que chez un enfant hébergeant un virus de la poliomyélite, l’injection d’un vaccin polarise la paralysie vers l’endroit injecté. Les souches de ces trois virus I, II et III sont contenues dans le vaccin, aussi bien le vaccin oral que le vaccin injectable. Les grandes campagnes de vaccination ont eu lieu entre 1950 et 1970 aux Etats-Unis et en Europe. Qu’a-t-on constaté à la suite de ces vaccinations de masse ? Le type III, qui ne représentait que 8% des souches avant la vaccination, est devenu le virus prépondérant quand la vaccination s’est généralisée. « La variété des souches est entretenue par la pression sélective des anticorps de chaque individu qui, en fonction de sa réponse immunitaire, peut excréter des virus différents de ceux qu’il a reçus. Les plus grandes variations du génome portent en effet sur les gènes des protéines de surface, celles-là mêmes qui sont reconnues par les anticorps. […] Parmi ces changements, certains sont susceptibles de restaurer la neurovirulence ce qui explique la survenue de poliomyélites associées à la vaccination, soit chez les vaccinés, soit chez leurs contacts » [4].
Les scientifiques de l’Institut Pasteur ne pavoisent pas devant les problèmes engendrés par les vaccinations car ils savent qu’ils ont mis en marche une machine infernale. Les souches d’origine vaccinale ayant un niveau de virulence plus élevé, ils reconnaissent que, maintenant, le problème qui se pose c’est la dérive génétique des souches vaccinales [5]. On en est venu à parler d’une maladie « dérivée » du vaccin, donc une maladie « iatrogène » [a] : «la polio paralytique associée à la vaccination» ou PPAV, maladie qui peut apparaître aussi bien chez les vaccinés que chez les non-vaccinés vivant au contact de vaccinés.
Actuellement, mis à part le Nigeria, le Pakistan, l’Inde et l’Afghanistan, quatre pays d’endémie où circulent encore des virus sauvages, il n’y a plus que des cas de polio vaccinale. Ainsi l’OMS signale-t-elle 23 pays en 2009-2010 précédemment exempts de polio où l’on a observé des réinfections à cause de virus importés [7]. Les quatre doses de vaccin oral administrées à des millions d’enfants dans le tiers-monde depuis plus d’un demi-siècle ne parviennent pas à venir à bout de la maladie qui a pris, depuis, des formes nouvelles. L’utilisation du vaccin polio oral (Sabin) a conduit à une variation antigénique du virus polio [8]. Si l’on avait utilisé tout simplement du chlorure de magnésium et rendu l’eau potable, non seulement on aurait jugulé les épidémies mais on aurait évité la virulence de nouvelles souches et un déferlement de nouvelles maladies. Ce n’est pas le choix qui a été fait, cela montre bien que le but des vaccinations n’est pas d’éviter les maladies, en dépit des slogans habituels, mais bien de maintenir un niveau de morbidité permettant de faire fonctionner un système qui se nourrit de la maladie. Il est important de signaler également que le vaccin polio a perturbé l’équilibre des virus commensaux qui sont présents dans nos intestins tels les entérovirus coxsackie et Echo. En Allemagne on a constaté après vaccination antipolio une diminution de 78% des virus polio mais une augmentation de 455% des virus Echo-Coxsackie [9]. Or, ces entérovirus, en temps normal, ne nous causent aucun souci, mais à partir du moment où l’équilibre est rompu, on constate que les virus Coxsackie peuvent provoquer des méningites, des paralysies, voire du diabète. Comme ces virus sont très nombreux (on connaît 23 sérotypes de virus Coxsackie et 32 de virus Echo), on peut imaginer la cascade de dégâts qu’ils peuvent occasionner [21].
Les virus de la polio propres à l’homme peuvent se trouver en grand nombre dans le tube digestif où ils séjournent et se reproduisent. Si rien ne les arrête, les poliovirus se dirigent par voie lymphatique vers le système nerveux central. Et s’ils parviennent à passer la barrière hémato-encéphalique, ils ont le champ libre pour endommager les neurones moteurs périphériques, provoquant une paralysie flasque suivie d’une atrophie musculaire. Pendant des siècles ces virus ne nous ont pas dérangés, ils provoquaient une immunité naturelle, et aucune maladie ne se manifestait. Selon les observations des inventeurs du vaccin, seuls trois sérotypes ne provoquaient pas d’immunité, les types I, II, et III. Pourquoi subitement dans les années 1950 ces virus sont-ils devenus agressifs ? Un facteur déclenchant a été la vaccination massive contre la coqueluche et contre la diphtérie pratiquée dès les années 1940. Voici ce qu’explique le Pr S.VAN CREVELD d’Amsterdam en 1952 [6] : Ces dernières années, on a rapporté de nombreux cas de poliomyélite consécutifs à la vaccination [anticoquelucheuse].
Mac CLOSKEY a montré qu’il existe une relation entre l’inoculation de vaccin anticoquelucheux et une poliomyélite ultérieure lorsque l’injection a été pratiquée un mois auparavant. Le membre paralysé est souvent celui où l’injection a été faite. De plus, cet auteur pense que l’inoculation du vaccin favorise l’apparition de paralysies dans les formes qui eussent été, sans cela, non paralytiques. En Australie, de janvier à novembre 1949, 675 cas de poliomyélite ont été observés dont 620 furent étudiés. 53 de ces malades avaient subi, dans les trois mois précédant les premiers symptômes de la maladie, une vaccination antidiphtérique ou anticoquelucheuse, ou les deux associées. […] Plus la dernière injection est récente, plus la relation avec la poliomyélite est évidente. Anderson et Skaar (Minnesota) ont examiné, en 1946, 2709 cas de poliomyélite au cours d’une épidémie massive. Ils ont constaté l’existence d’une relation entre l’augmentation des cas de poliomyélite et la pratique d’une vaccination quelconque ainsi qu’entre le siège de la dernière injection et celui de la paralysie. Ces auteurs ont montré également qu’il existait une relation entre la vaccination et l’apparition d’une paralysie plus grave que celle des enfants qui n’avaient pas été vaccinés. [..].De ces études, on peut déduire que chez un enfant hébergeant un virus de la poliomyélite, l’injection d’un vaccin polarise la paralysie vers l’endroit injecté. Les souches de ces trois virus I, II et III sont contenues dans le vaccin, aussi bien le vaccin oral que le vaccin injectable. Les grandes campagnes de vaccination ont eu lieu entre 1950 et 1970 aux Etats-Unis et en Europe. Qu’a-t-on constaté à la suite de ces vaccinations de masse ? Le type III, qui ne représentait que 8% des souches avant la vaccination, est devenu le virus prépondérant quand la vaccination s’est généralisée. « La variété des souches est entretenue par la pression sélective des anticorps de chaque individu qui, en fonction de sa réponse immunitaire, peut excréter des virus différents de ceux qu’il a reçus. Les plus grandes variations du génome portent en effet sur les gènes des protéines de surface, celles-là mêmes qui sont reconnues par les anticorps. […] Parmi ces changements, certains sont susceptibles de restaurer la neurovirulence ce qui explique la survenue de poliomyélites associées à la vaccination, soit chez les vaccinés, soit chez leurs contacts » [4].
Les scientifiques de l’Institut Pasteur ne pavoisent pas devant les problèmes engendrés par les vaccinations car ils savent qu’ils ont mis en marche une machine infernale. Les souches d’origine vaccinale ayant un niveau de virulence plus élevé, ils reconnaissent que, maintenant, le problème qui se pose c’est la dérive génétique des souches vaccinales [5]. On en est venu à parler d’une maladie « dérivée » du vaccin, donc une maladie « iatrogène » [a] : «la polio paralytique associée à la vaccination» ou PPAV, maladie qui peut apparaître aussi bien chez les vaccinés que chez les non-vaccinés vivant au contact de vaccinés.
Actuellement, mis à part le Nigeria, le Pakistan, l’Inde et l’Afghanistan, quatre pays d’endémie où circulent encore des virus sauvages, il n’y a plus que des cas de polio vaccinale. Ainsi l’OMS signale-t-elle 23 pays en 2009-2010 précédemment exempts de polio où l’on a observé des réinfections à cause de virus importés [7]. Les quatre doses de vaccin oral administrées à des millions d’enfants dans le tiers-monde depuis plus d’un demi-siècle ne parviennent pas à venir à bout de la maladie qui a pris, depuis, des formes nouvelles. L’utilisation du vaccin polio oral (Sabin) a conduit à une variation antigénique du virus polio [8]. Si l’on avait utilisé tout simplement du chlorure de magnésium et rendu l’eau potable, non seulement on aurait jugulé les épidémies mais on aurait évité la virulence de nouvelles souches et un déferlement de nouvelles maladies. Ce n’est pas le choix qui a été fait, cela montre bien que le but des vaccinations n’est pas d’éviter les maladies, en dépit des slogans habituels, mais bien de maintenir un niveau de morbidité permettant de faire fonctionner un système qui se nourrit de la maladie. Il est important de signaler également que le vaccin polio a perturbé l’équilibre des virus commensaux qui sont présents dans nos intestins tels les entérovirus coxsackie et Echo. En Allemagne on a constaté après vaccination antipolio une diminution de 78% des virus polio mais une augmentation de 455% des virus Echo-Coxsackie [9]. Or, ces entérovirus, en temps normal, ne nous causent aucun souci, mais à partir du moment où l’équilibre est rompu, on constate que les virus Coxsackie peuvent provoquer des méningites, des paralysies, voire du diabète. Comme ces virus sont très nombreux (on connaît 23 sérotypes de virus Coxsackie et 32 de virus Echo), on peut imaginer la cascade de dégâts qu’ils peuvent occasionner [21].
b) Les virus des
hépatites
Avant les campagnes de vaccinations lancées avec tambours et trompettes dans les années 1990, personne ne parlait d’hépatites. On connaissait quelques cas de personnes fort affaiblies après une hépatite virale, mais cela n’apparaissait pas comme un fléau. Les autorités sanitaires, de concert avec les politiques, ont imposé une vaccination contre l’hépatite B visant plus de la moitié de la population française, et parallèlement, on a vacciné contre l’hépatite A un certain pourcentage de personnes, qui ont souvent reçu les deux vaccins ensemble. Curieusement, dès ces années-là on a vu apparaître d’autres souches : hépatite C, hépatite D, hépatite E, hépatite G, hépatite H et la liste n’est pas close. Ces virus pouvaient exister de façon concomitante avec l’hépatite A et l’hépatite B, mais certains peuvent avoir été créés par recombinaison avec les virus vaccinaux ; même si ces souches nouvelles ne sont pas redoutables pour l’homme, on a, avec la vaccination, le départ de modifications écologiques microbiennes qui peuvent très bien virer au cauchemar.
Avant les campagnes de vaccinations lancées avec tambours et trompettes dans les années 1990, personne ne parlait d’hépatites. On connaissait quelques cas de personnes fort affaiblies après une hépatite virale, mais cela n’apparaissait pas comme un fléau. Les autorités sanitaires, de concert avec les politiques, ont imposé une vaccination contre l’hépatite B visant plus de la moitié de la population française, et parallèlement, on a vacciné contre l’hépatite A un certain pourcentage de personnes, qui ont souvent reçu les deux vaccins ensemble. Curieusement, dès ces années-là on a vu apparaître d’autres souches : hépatite C, hépatite D, hépatite E, hépatite G, hépatite H et la liste n’est pas close. Ces virus pouvaient exister de façon concomitante avec l’hépatite A et l’hépatite B, mais certains peuvent avoir été créés par recombinaison avec les virus vaccinaux ; même si ces souches nouvelles ne sont pas redoutables pour l’homme, on a, avec la vaccination, le départ de modifications écologiques microbiennes qui peuvent très bien virer au cauchemar.
c) Les méningocoques
La méningite fait peur et les autorités médicales en profitent pour répandre la panique et imposer la vaccination dès qu’un cas de méningite est signalé [10]. Les méningites à méningocoques sont liées en France, essentiellement à trois souches de la bactérie Neisseria meningitis : A, B et C. A ce jour, on a recensé 12 sérotypes de méningocoques. Mais comme pour toutes les familles de microbes, il existe une infinie variété de souches et de sous-groupes, et le nombre de variétés va toujours croissant si l’on intervient intempestivement dans l’ordre naturel des choses. Ainsi, la vaccination contre un type de virus ou de bactérie va engendrer une effervescence chez les autres « membres de la famille » qui vont renforcer leur virulence ; une façon, en fait, de se défendre. Au début de ce siècle, la plupart des cas de méningite à méningocoques étaient provoqués par la bactérie du groupe A. A partir des années 1960, l’accent est mis sur le groupe B. Ces dernières années, c’est le groupe C qui entre en force. Actuellement, le groupe le plus répandu en Europe est le groupe B. Aux Etats-Unis, c’est le groupe Y qui prédomine, en Afrique c’est le groupe W et aussi le groupe X apparu après vaccination contre la méningite A et C [11]. Il faut s’attendre à ce que d’autres variétés apparaissent dans un avenir proche, d’autant qu’il existe déjà des vaccins conjugués contre les types A et C et un vaccin quadrivalent A, C, Y et W135 (Menveo de Novartis). Le vaccin contre le groupe B, fabriqué en Norvège, est utilisé en France dans les campagnes vaccinales en Seine-Maritime et dans la Somme depuis plusieurs années alors qu’il n’a pas d’AMM et qu’il a provoqué des catastrophes en Nouvelle-Zélande et au Canada. Actuellement le laboratoire Novartis teste en phase III un vaccin contre plusieurs méningocoques B (il existe une multitude de sous-groupes), le BEXSERO, pour lequel le groupe pharmaceutique suisse est en train de construire au Brésil, dans l’Etat de Pernambouco, une usine de biotechnologies, pour 300 millions de dollars, qui sera achevée en 2014 et emploiera à terme 120 salariés. Michel GEORGET dans son livre [12] rappelle les propos tenus par le Dr TAHA, spécialiste des méningocoques à l’Institut Pasteur, dans la revue « Que Choisir » : « Il y a un aspect qui nous fait très peur, ce sont les changements dans les types de bactéries apparues à l’occasion des campagnes de vaccination massive. Ainsi, en Tchéquie, après les campagnes de 1993, on a vu arriver des infections à méningocoques B, certains C ayant commuté vers les B. Ce phénomène de commutation dans lequel la bactérie se détruit et échange son bagage génétique avec les bactéries voisines se produit constamment. Ce qui change tout, c’est la sélection par le vaccin de nouveaux variants virulents et invasifs ». On ne saurait mieux décrire le bourbier dans lequel on s’enfonce grâce à la vaccination et le désarroi des scientifiques, incapables de mettre un frein à une vaccinologie destructrice.
La méningite fait peur et les autorités médicales en profitent pour répandre la panique et imposer la vaccination dès qu’un cas de méningite est signalé [10]. Les méningites à méningocoques sont liées en France, essentiellement à trois souches de la bactérie Neisseria meningitis : A, B et C. A ce jour, on a recensé 12 sérotypes de méningocoques. Mais comme pour toutes les familles de microbes, il existe une infinie variété de souches et de sous-groupes, et le nombre de variétés va toujours croissant si l’on intervient intempestivement dans l’ordre naturel des choses. Ainsi, la vaccination contre un type de virus ou de bactérie va engendrer une effervescence chez les autres « membres de la famille » qui vont renforcer leur virulence ; une façon, en fait, de se défendre. Au début de ce siècle, la plupart des cas de méningite à méningocoques étaient provoqués par la bactérie du groupe A. A partir des années 1960, l’accent est mis sur le groupe B. Ces dernières années, c’est le groupe C qui entre en force. Actuellement, le groupe le plus répandu en Europe est le groupe B. Aux Etats-Unis, c’est le groupe Y qui prédomine, en Afrique c’est le groupe W et aussi le groupe X apparu après vaccination contre la méningite A et C [11]. Il faut s’attendre à ce que d’autres variétés apparaissent dans un avenir proche, d’autant qu’il existe déjà des vaccins conjugués contre les types A et C et un vaccin quadrivalent A, C, Y et W135 (Menveo de Novartis). Le vaccin contre le groupe B, fabriqué en Norvège, est utilisé en France dans les campagnes vaccinales en Seine-Maritime et dans la Somme depuis plusieurs années alors qu’il n’a pas d’AMM et qu’il a provoqué des catastrophes en Nouvelle-Zélande et au Canada. Actuellement le laboratoire Novartis teste en phase III un vaccin contre plusieurs méningocoques B (il existe une multitude de sous-groupes), le BEXSERO, pour lequel le groupe pharmaceutique suisse est en train de construire au Brésil, dans l’Etat de Pernambouco, une usine de biotechnologies, pour 300 millions de dollars, qui sera achevée en 2014 et emploiera à terme 120 salariés. Michel GEORGET dans son livre [12] rappelle les propos tenus par le Dr TAHA, spécialiste des méningocoques à l’Institut Pasteur, dans la revue « Que Choisir » : « Il y a un aspect qui nous fait très peur, ce sont les changements dans les types de bactéries apparues à l’occasion des campagnes de vaccination massive. Ainsi, en Tchéquie, après les campagnes de 1993, on a vu arriver des infections à méningocoques B, certains C ayant commuté vers les B. Ce phénomène de commutation dans lequel la bactérie se détruit et échange son bagage génétique avec les bactéries voisines se produit constamment. Ce qui change tout, c’est la sélection par le vaccin de nouveaux variants virulents et invasifs ». On ne saurait mieux décrire le bourbier dans lequel on s’enfonce grâce à la vaccination et le désarroi des scientifiques, incapables de mettre un frein à une vaccinologie destructrice.
d) Les pneumocoques
Il a été constaté que depuis les années 1990, lorsque l’on a commencé à vacciner contre l’Haemophilus influenzae b, bactérie associée à des méningites du nourrisson (jusqu’à l’âge de 3 ans), le nombre des infections à pneumocoques, par contre, a beaucoup augmenté. Les bactéries Haemophilus apparaissent dans les voies respiratoires supérieures chez la plupart des gens (60 à 90%) sans provoquer de problèmes. En voulant faire disparaître cette bactérie on en a réveillé d’autres dont les pneumocoques, ouvrant ainsi la voie à d’autres formes de méningite. A noter que si l’incidence des infections dues au type Haemophilus b a diminué, les infections dues au type f ont été multipliées par quatre, tendance observée aux Etats-Unis et au Royaume-Uni [13].
Comme il existe aussi un vaccin contre les méningites à pneumocoques, voilà que les choses se compliquent et que nous sommes embarqués dans une histoire sans fin. Les campagnes de vaccination contre les méningites, quelles qu’elles soient, n’apportent aucune amélioration à la situation, bien au contraire, elles l’ont complexifiée, en opérant un glissement vers d’autres types de méningites de plus en plus « sévères », mais aussi en déplaçant l’âge de l’apparition de ces méningites vers les très jeunes nourrissons et vers les adultes. Le Dr Kris GAUBLOMME pose la question : « L’augmentation de l’incidence des méningites n’est-elle pas le prix que nous payons pour la diminution des bactéries Haemophilus influenzae b contre lesquelles on vaccine depuis plus de 20 ans ? ». Dans un article paru récemment dans le journal Le Figaro [14], la journaliste Martine PEREZ fait état d’une enquête française menée par le Pr Didier GUILLEMOT (pharmaco-épidémiologiste de l’Institut Pasteur, Inserm, Université de Versailles) et présentée le 3 octobre à Chicago. Cette enquête montre que loin d’avoir disparu sous l’effet de la vaccination, le nombre de cas de méningite à pneumocoques a augmenté en France. La journaliste observe que « ces données, qui vont être publiées dans une revue spécialisée, soulèvent de nombreuses questions. En particulier, quelle est la cause de l’augmentation de ces méningites ? Le vaccin a-t-il contribué à sélectionner des souches de pneumocoques pathogènes contre lesquelles il ne protège pas ? ». En effet, parallèlement à la diminution des sérotypes contre lesquels le vaccin PREVENAR est censé protéger, on assiste à l’augmentation de méningites liées à des sérotypes non vaccinaux et sensibles aux antibiotiques. Le vaccin PREVENAR 7 qui visait 7 sérotypes de Streptococcus pneumoniae a été mis sur le marché en 2001. Voyant qu’il n’était pas suffisamment protecteur, le fabricant (Pfizer) propose en juin 2010 un autre vaccin antipneumocoques, le PREVENAR 13 visant 13 sérotypes. La surenchère est la seule solution qu’entrevoient les vaccinologues pour faire croire que les vaccins ont toujours le dernier mot. Le Dr Isabelle HOPPENOT, dans le Quotidien du Médecin [15], révèle les chiffres suivants : entre 2001 et 2009, les sérotypes vaccinaux correspondant au vaccin PREVENAR 7 sont passés de 65% à 3%. Mais ils ont été remplacés par d’autres sérotypes non vaccinaux qui culminaient à 77% des cas en 2009. Chez les moins de deux ans, des sérotypes non vaccinaux ont grimpé de 12 à 27% des cas pour le type 19A, et de 1 à 24% pour le type 2F. Chez les plus de deux ans, on note une forte émergence du type 3 avec une augmentation de 9 à 61% des cas. Selon l’étude du Pr GUILLEMOT, il y avait en France en 2002-2003, un peu moins de 600 méningites à pneumocoques chaque année. Ce chiffre est passé à un peu plus de 800 par an en 2008-2009. Le centre national de référence des pneumocoques retrouve une évolution similaire, avec une vraie tendance à l’augmentation à partir de 2006. Le nombre des méningites à pneumocoques était de 0,93 pour 100 000 habitants en 2002-2003. Il est de 1,25 pour 100 000 en 2008-2009. En valeur absolue, 200 cas en plus par an ont été observés entre ces deux périodes. « Le groupe de recherche de Didier GUILLEMOT va maintenant s’attacher à comprendre les causes de cette augmentation paradoxale, alors que la vaccination a monté en puissance » précise la journaliste, qui ajoute que cette croissance concerne toutes les tranches d’âge, les moins de 2 ans et les personnes âgées. Des résultats similaires ont été observés ailleurs en Europe, et notamment en Espagne. « Vu la multiplicité des souches, d’autres phénomènes adaptatifs ne sont pas exclus. D’où l’urgence de maintenir une surveillance très pointue des méningites à pneumocoques. Et de lancer une réflexion de fond sur cette vaccination », conclut-elle. A noter que le vaccin destiné aux adultes (PNEUMO23) vise 23 sérotypes de Streptococcus pneumoniae alors qu’il en existe pratiquement une centaine. Quelle évolution dans les pathologies à pneumocoques nous réservent les souches non vaccinales ?
e) Les papillomavirus
Avec la vaccination contre les papillomavirus lancée ces dernières années, on est en train de provoquer des phénomènes identiques à ceux que l’on vient d’évoquer. Le vaccin GARDASIL qui est censé protéger contre quatre papillomavirus ou le vaccin CERVARIX censé protéger contre seulement deux de ces virus, sont en train de bousculer l’écologie virale de la flore vaginale et il y a fort à parier que d’ici peu, de nouveaux papillomavirus vont se montrer agressifs et déclencher des cancers du col de l’utérus plus invasifs. C’est d’ailleurs ce qui préoccupe l’auteur d’un article paru dans JAMA le 28 février 2007 qui pose la question : « Dans quelle mesure le vaccin ne va-t-il pas favoriser l’émergence d’autres virus hautement cancérigènes qui viendront occuper la niche écologique devenue vacante ? ». Or c’est déjà en train de se produire. Outre les innombrables effets secondaires de ces vaccins, ils ont un effet « boomerang » puisqu’ils sont capables de provoquer par eux-mêmes des cancers. Où est le bénéfice ?
Il a été constaté que depuis les années 1990, lorsque l’on a commencé à vacciner contre l’Haemophilus influenzae b, bactérie associée à des méningites du nourrisson (jusqu’à l’âge de 3 ans), le nombre des infections à pneumocoques, par contre, a beaucoup augmenté. Les bactéries Haemophilus apparaissent dans les voies respiratoires supérieures chez la plupart des gens (60 à 90%) sans provoquer de problèmes. En voulant faire disparaître cette bactérie on en a réveillé d’autres dont les pneumocoques, ouvrant ainsi la voie à d’autres formes de méningite. A noter que si l’incidence des infections dues au type Haemophilus b a diminué, les infections dues au type f ont été multipliées par quatre, tendance observée aux Etats-Unis et au Royaume-Uni [13].
Comme il existe aussi un vaccin contre les méningites à pneumocoques, voilà que les choses se compliquent et que nous sommes embarqués dans une histoire sans fin. Les campagnes de vaccination contre les méningites, quelles qu’elles soient, n’apportent aucune amélioration à la situation, bien au contraire, elles l’ont complexifiée, en opérant un glissement vers d’autres types de méningites de plus en plus « sévères », mais aussi en déplaçant l’âge de l’apparition de ces méningites vers les très jeunes nourrissons et vers les adultes. Le Dr Kris GAUBLOMME pose la question : « L’augmentation de l’incidence des méningites n’est-elle pas le prix que nous payons pour la diminution des bactéries Haemophilus influenzae b contre lesquelles on vaccine depuis plus de 20 ans ? ». Dans un article paru récemment dans le journal Le Figaro [14], la journaliste Martine PEREZ fait état d’une enquête française menée par le Pr Didier GUILLEMOT (pharmaco-épidémiologiste de l’Institut Pasteur, Inserm, Université de Versailles) et présentée le 3 octobre à Chicago. Cette enquête montre que loin d’avoir disparu sous l’effet de la vaccination, le nombre de cas de méningite à pneumocoques a augmenté en France. La journaliste observe que « ces données, qui vont être publiées dans une revue spécialisée, soulèvent de nombreuses questions. En particulier, quelle est la cause de l’augmentation de ces méningites ? Le vaccin a-t-il contribué à sélectionner des souches de pneumocoques pathogènes contre lesquelles il ne protège pas ? ». En effet, parallèlement à la diminution des sérotypes contre lesquels le vaccin PREVENAR est censé protéger, on assiste à l’augmentation de méningites liées à des sérotypes non vaccinaux et sensibles aux antibiotiques. Le vaccin PREVENAR 7 qui visait 7 sérotypes de Streptococcus pneumoniae a été mis sur le marché en 2001. Voyant qu’il n’était pas suffisamment protecteur, le fabricant (Pfizer) propose en juin 2010 un autre vaccin antipneumocoques, le PREVENAR 13 visant 13 sérotypes. La surenchère est la seule solution qu’entrevoient les vaccinologues pour faire croire que les vaccins ont toujours le dernier mot. Le Dr Isabelle HOPPENOT, dans le Quotidien du Médecin [15], révèle les chiffres suivants : entre 2001 et 2009, les sérotypes vaccinaux correspondant au vaccin PREVENAR 7 sont passés de 65% à 3%. Mais ils ont été remplacés par d’autres sérotypes non vaccinaux qui culminaient à 77% des cas en 2009. Chez les moins de deux ans, des sérotypes non vaccinaux ont grimpé de 12 à 27% des cas pour le type 19A, et de 1 à 24% pour le type 2F. Chez les plus de deux ans, on note une forte émergence du type 3 avec une augmentation de 9 à 61% des cas. Selon l’étude du Pr GUILLEMOT, il y avait en France en 2002-2003, un peu moins de 600 méningites à pneumocoques chaque année. Ce chiffre est passé à un peu plus de 800 par an en 2008-2009. Le centre national de référence des pneumocoques retrouve une évolution similaire, avec une vraie tendance à l’augmentation à partir de 2006. Le nombre des méningites à pneumocoques était de 0,93 pour 100 000 habitants en 2002-2003. Il est de 1,25 pour 100 000 en 2008-2009. En valeur absolue, 200 cas en plus par an ont été observés entre ces deux périodes. « Le groupe de recherche de Didier GUILLEMOT va maintenant s’attacher à comprendre les causes de cette augmentation paradoxale, alors que la vaccination a monté en puissance » précise la journaliste, qui ajoute que cette croissance concerne toutes les tranches d’âge, les moins de 2 ans et les personnes âgées. Des résultats similaires ont été observés ailleurs en Europe, et notamment en Espagne. « Vu la multiplicité des souches, d’autres phénomènes adaptatifs ne sont pas exclus. D’où l’urgence de maintenir une surveillance très pointue des méningites à pneumocoques. Et de lancer une réflexion de fond sur cette vaccination », conclut-elle. A noter que le vaccin destiné aux adultes (PNEUMO23) vise 23 sérotypes de Streptococcus pneumoniae alors qu’il en existe pratiquement une centaine. Quelle évolution dans les pathologies à pneumocoques nous réservent les souches non vaccinales ?
e) Les papillomavirus
Avec la vaccination contre les papillomavirus lancée ces dernières années, on est en train de provoquer des phénomènes identiques à ceux que l’on vient d’évoquer. Le vaccin GARDASIL qui est censé protéger contre quatre papillomavirus ou le vaccin CERVARIX censé protéger contre seulement deux de ces virus, sont en train de bousculer l’écologie virale de la flore vaginale et il y a fort à parier que d’ici peu, de nouveaux papillomavirus vont se montrer agressifs et déclencher des cancers du col de l’utérus plus invasifs. C’est d’ailleurs ce qui préoccupe l’auteur d’un article paru dans JAMA le 28 février 2007 qui pose la question : « Dans quelle mesure le vaccin ne va-t-il pas favoriser l’émergence d’autres virus hautement cancérigènes qui viendront occuper la niche écologique devenue vacante ? ». Or c’est déjà en train de se produire. Outre les innombrables effets secondaires de ces vaccins, ils ont un effet « boomerang » puisqu’ils sont capables de provoquer par eux-mêmes des cancers. Où est le bénéfice ?
f) Le virus de la
varicelle
Avec le vaccin contre la varicelle, lancé sur le marché français en mai 2004, la crainte de voir des épidémies de zona apparaître est tout à fait justifiée. C’est d’ailleurs ce qui a freiné l’utilisation de ce vaccin. Car les experts savaient très bien ce qui allait arriver : le réveil du virus Zoster et pas uniquement chez les personnes âgées. « Actuellement, le risque d’avoir au moins une réactivation du virus Zoster sous forme de zona est de l’ordre de 15 à 20%. Si la vaccination des enfants [contre la varicelle] entraînait un abaissement de l’immunité mémoire des adultes, on peut supposer une augmentation des cas de zona » écrivait Philippe BOURLITIO au moment du lancement du vaccin [16]. C’est ce qui est observé au Massachusetts où l’incidence du zona a doublé entre 1998 et 2003 [17]. Ici le virus de la varicelle est le même que celui du zona, il s’agit plus d’un effet d’amplification de la pathogénicité d’un virus que de pathocénose. Mais il n’empêche que la vaccination comporte ce risque, plus celui de réveiller d’autres virus du groupe herpès auquel appartient le virus Zoster. On sait que ces virus sont cancérigènes, le danger est donc grand de voir apparaître des cancers plusieurs années après la vaccination contre la varicelle, ou contre le zona, puisque pour contrer les méfaits du vaccin VARIVAX contre la varicelle, un vaccin ZOSTAVAX contre le zona est sorti en 2006.
Avec le vaccin contre la varicelle, lancé sur le marché français en mai 2004, la crainte de voir des épidémies de zona apparaître est tout à fait justifiée. C’est d’ailleurs ce qui a freiné l’utilisation de ce vaccin. Car les experts savaient très bien ce qui allait arriver : le réveil du virus Zoster et pas uniquement chez les personnes âgées. « Actuellement, le risque d’avoir au moins une réactivation du virus Zoster sous forme de zona est de l’ordre de 15 à 20%. Si la vaccination des enfants [contre la varicelle] entraînait un abaissement de l’immunité mémoire des adultes, on peut supposer une augmentation des cas de zona » écrivait Philippe BOURLITIO au moment du lancement du vaccin [16]. C’est ce qui est observé au Massachusetts où l’incidence du zona a doublé entre 1998 et 2003 [17]. Ici le virus de la varicelle est le même que celui du zona, il s’agit plus d’un effet d’amplification de la pathogénicité d’un virus que de pathocénose. Mais il n’empêche que la vaccination comporte ce risque, plus celui de réveiller d’autres virus du groupe herpès auquel appartient le virus Zoster. On sait que ces virus sont cancérigènes, le danger est donc grand de voir apparaître des cancers plusieurs années après la vaccination contre la varicelle, ou contre le zona, puisque pour contrer les méfaits du vaccin VARIVAX contre la varicelle, un vaccin ZOSTAVAX contre le zona est sorti en 2006.
CONCLUSION
On voit, à travers les exemples cités, toute la
problématique que soulèvent les vaccinations de masse, systématiques et
indiscriminées, inutiles et inefficaces, toutes potentiellement dangereuses.
Comme le disait le Pr DELORE, médecin des hôpitaux de Lyon, en 1936 [18] : « Si
nous continuons à généraliser et à multiplier l’emploi des vaccins, on peut
concevoir que d’ici quelques décades, une pathologie nouvelle, celle des
sociétés vaccinées, verra le jour. Héricourt a écrit (19) : « Les vaccinations
peuvent provoquer des modifications du terrain organique se traduisant par la
création d’aptitudes morbides nouvelles. On ne se demande jamais à quels
éléments peut être liée l’apparition de maladies nouvelles. Il serait sage de
porter quelques investigations du côté des modifications du terrain créées par
la vaccination.» «Il existe actuellement, a renchérit Mauriac (20), une
débauche de sérothérapie et de vaccinothérapie à faire frémir… On introduit
dans l’organisme des microbes, des albumines étrangères, des substances non
assimilées, sans se soucier des modifications apportées ainsi à nos humeurs,
nos cellules, notre personnalité biologique ». Ces propos étaient
prémonitoires. Aujourd’hui, la santé de l’être humain n’a jamais été aussi
désastreuse, aussi chancelante, aussi mise à mal.
1 –Cf René DUBOS « Infection into disease », in
D.J. INGLE “Life and disease”, New York Basic Books, 1963, p. 100-110
2 – « Le traitement de la tuberculose – Principes à l’intention des programmes nationaux », OMS, 1997, p.11
3 – Simone et Fernand DELARUE : “Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies” (1985)
4 – Michel GEORGET « Vaccinations, les vérités indésirables » Ed. 2011, p.87
a –« iatrogène » = qui est provoqué par la médecine
5 – Radu CRAINIC et coll. « La poliomyélite : une maladie neurologique provoquée par un virus entérotrope » in Annales de l’Institut Pasteur, vol 6, n°2, 1995
6 – « Vaccinations contre les maladies contagieuses de l’enfance », Centre International de l’enfance, 1952, p.263
7 – OMS, Aide-mémoire n°114, Octobre 2011
8 – SHEN Y. et al. « What causes chinese paralytic syndrome ? » The Lancet, t. 344, p.1026, 1994.
9 – LENNARTZ H., in Deutsche medizinische worenschrift t. 88, p. 884-886, 1963
10 – A lire l’excellente brochure du Dr Kris GAUBLOMME “La méningite” (En vente au siège d’ALIS)
11 – S. DJIBO et al. “Portage rhino-pharyngé de méningocoque X dans une école primaire de Niamey (Niger)” Med. Trop, 2004, n° 64, p. 363-66
12 – Michel GEORGET, « Vaccinations, les vérités indésirables »Ed. 2011, p.90 cf « Que Choisir » n°402, mars 2003 : « Vaccination sous condition »
13 – URWIN G. et al. « Invasive disease due to Haemophilus influenzae serotype f », Clinical Infectious Diseases, t. 22, p. 1069-76, 1996 et HEATH P.T. et al. « Non type b Haemophilus influenzae disease… », The Pediatric Infectious Disease Journal, t. 20 (3), p.300-305, 2001
14 – “La méningite à pneumocoques gagne du terrain en France”, Martine PEREZ, Le Figaro, 16 octobre 2011
15 – Dr Isabelle HOPPENOT, « Méningites bactériennes : L’épidémiologie évolue avec la vaccination », Quotidien du Médecin, 10 juin 2011
16 – www.debats-science-societe.net « la vaccination contre la varicelle », 29 avril 2004
17 – P. BEGUE « Vaccin contre le virus de la varicelle et du zona », Virologie, t.10, n°6, p.407-414, 2006
18 – P. DELORE « Tendances de la médecine contemporaine », Ed. Masson, 1936, p. 157
19 – J.HERICOURT, « Les frontières de la maladie », Ed. Flammarion, 1920
20 – P. MAURIAC, « Aux confins de la médecine », Ed. Grasset, 1926
21 – On lira avec profit le livre du Dr Jean PILETTE sur la poliomyélite, « Nous te protègerons », Ed. de l’Aronde, 1997 (En vente au siège d’ALIS)
2 – « Le traitement de la tuberculose – Principes à l’intention des programmes nationaux », OMS, 1997, p.11
3 – Simone et Fernand DELARUE : “Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies” (1985)
4 – Michel GEORGET « Vaccinations, les vérités indésirables » Ed. 2011, p.87
a –« iatrogène » = qui est provoqué par la médecine
5 – Radu CRAINIC et coll. « La poliomyélite : une maladie neurologique provoquée par un virus entérotrope » in Annales de l’Institut Pasteur, vol 6, n°2, 1995
6 – « Vaccinations contre les maladies contagieuses de l’enfance », Centre International de l’enfance, 1952, p.263
7 – OMS, Aide-mémoire n°114, Octobre 2011
8 – SHEN Y. et al. « What causes chinese paralytic syndrome ? » The Lancet, t. 344, p.1026, 1994.
9 – LENNARTZ H., in Deutsche medizinische worenschrift t. 88, p. 884-886, 1963
10 – A lire l’excellente brochure du Dr Kris GAUBLOMME “La méningite” (En vente au siège d’ALIS)
11 – S. DJIBO et al. “Portage rhino-pharyngé de méningocoque X dans une école primaire de Niamey (Niger)” Med. Trop, 2004, n° 64, p. 363-66
12 – Michel GEORGET, « Vaccinations, les vérités indésirables »Ed. 2011, p.90 cf « Que Choisir » n°402, mars 2003 : « Vaccination sous condition »
13 – URWIN G. et al. « Invasive disease due to Haemophilus influenzae serotype f », Clinical Infectious Diseases, t. 22, p. 1069-76, 1996 et HEATH P.T. et al. « Non type b Haemophilus influenzae disease… », The Pediatric Infectious Disease Journal, t. 20 (3), p.300-305, 2001
14 – “La méningite à pneumocoques gagne du terrain en France”, Martine PEREZ, Le Figaro, 16 octobre 2011
15 – Dr Isabelle HOPPENOT, « Méningites bactériennes : L’épidémiologie évolue avec la vaccination », Quotidien du Médecin, 10 juin 2011
16 – www.debats-science-societe.net « la vaccination contre la varicelle », 29 avril 2004
17 – P. BEGUE « Vaccin contre le virus de la varicelle et du zona », Virologie, t.10, n°6, p.407-414, 2006
18 – P. DELORE « Tendances de la médecine contemporaine », Ed. Masson, 1936, p. 157
19 – J.HERICOURT, « Les frontières de la maladie », Ed. Flammarion, 1920
20 – P. MAURIAC, « Aux confins de la médecine », Ed. Grasset, 1926
21 – On lira avec profit le livre du Dr Jean PILETTE sur la poliomyélite, « Nous te protègerons », Ed. de l’Aronde, 1997 (En vente au siège d’ALIS)
Enseignante à la retraite, Françoise JOËT a été
présidente pendant 15 ans de l’Association Liberté Information Santé (ALIS),
dont elle est désormais présidente d’honneur. Rédactrice en chef de la revue «
Le Courrier d’ALIS » (revue trimestrielle d’information sur les vaccinations),
elle est aussi l’auteur du livre : « Tétanos, le mirage de la vaccination » et
co-auteur avec Claude BERNARD du livre : « Hépatites, les vaccinations
catastrophe » (publiés par ALIS) et co-auteur avec Sylvie SIMON du livre : «
Vaccinations, l’overdose » (Ed. F. Belfond). Membre du groupe européen EFVV
(European Forum for Vaccine Vigilance), elle donne des conférences et a participé
à de nombreux congrès.
www.alis-france.com – siege@alis-france.com
www.alis-france.com – siege@alis-france.com
Que devrait-on faire maintenant que le
suspect vaccin est identifié ? À mon sens, il faudrait d’urgence
vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le
vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre
anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle
corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant,
le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir
l’argument habituel de la « coïncidence temporelle » entre
vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ? Qui croirait
encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un
appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur
vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts. Je
vous embrasse d’avance… sans distanciation sociale.
Covid-19 : 8 vérités à propager
Ma tentative de décodage biologique, ce
sera pour plus tard. À l’heure où nos libertés élémentaires sont
sacrifiées sur l’autel de la psychose, il me semble plus urgent de poursuivre
mon décryptage anxiolytique de cette grande mascarade
médico-politico-médiatique. Mon but ? Répandre viralement un message
apaisant en vous dévoilant des informations dissimulées ou qui ne sont pas
cachées mais qui restent peu audibles dans le vacarme des discours alarmistes.
Contrairement à d’autres observateurs, je ne crois toujours pas que cette
épidémie procède d’un plan machiavélique ourdi par de lugubres comploteurs. Il
y a des gens qui tirent les marrons du feu, il y en a même (Georges Soros, Bill
Gates…) qui ont misé et spéculé sur un départ de feu. Ça n’empêche pas qu’il
s’agisse d’un feu de broussaille d’origine naturelle et appelé à s’éteindre
bientôt, avec ou sans les lois martiales imposées aux populations.
Dans quelques semaines, on va sortir du cauchemar et on s’apercevra que
cette virose assez banale ne méritait pas de se faire tant de mauvais sang.
Voilà mon inventaire des vérités que les médias dominants occultent ou font
mine de ne pas voir pour mieux épouser le sens du vent (de panique) qui fait
vendre.
Vérité n° 1 : les chiffres chinois sont hyper-rassurants
Il suffit de faire un rapide calcul : sur base des statistiques établies en Chine (80894 cas, 3237 morts ) le terrifiant agent infectieux SARS-Cov-2 y a fait très peu de dégâts. Il a contaminé 0,005 % des habitants de l’Empire du milieu et décimé seulement 0,0002% de la population. Certes, je n’ignore pas que ce taux de mortalité global reflète mal les disparités locales : dans la ville de Wuhan et la province de Hubei, le bilan est singulièrement plus lourd, de l’ordre de 1%. Il n’empêche qu’à échelle nationale, les « ravages » du coronavirus sont ridiculement faibles, très inférieurs à ceux de la grippe saisonnière. Avec environ 0,006% de mortalité, celle-ci est 20 fois plus meurtrière. Par rapport à la grippe espagnole (40 millions de morts, 2% de la population mondiale selon les estimations les plus sérieuses), le CoVid-19 s’est avéré 5.000 fois moins meurtrier chez les Chinois. Je parle au passé car là-bas, le nombre de nouveaux cas est en chute libre, ce qui augure d’une fin très proche de l’épidémie. Évidemment, on me rétorquera que cet excellent résultat résulte des mesures de confinement spectaculaires et très coercitives adoptées en Chine. OK, admettons la plausibilité de cette explication indémontrable. Mais pourquoi, comme le font certains épidémiologistes belges et français, agiter l’épouvantail d’un remake de 1918, avec des centaines de milliers ou de millions de morts à travers le monde ? Pour nous faire peur et nous inciter à être disciplinés ? Je doute de la valeur pédagogique de ce pessimisme exacerbé. On pourrait très bien faire le contraire et faire miroiter que l’incendie apparu en Chine a été remarquablement maîtrisé. L’éducation positive, jamais entendu parler ?
Vérité n° 2 : les chiffres européens sont trop bizarres
La justification de ce catastrophisme réside peut-être dans la situation italienne. Ce matin, dans ce pays, on comptabilisait déjà 2503 morts, soit 0,004% de la population. On comprend que l’Italie ait appelé la Chine à la rescousse pour tenter d’enrayer le fléau. Mais si vous allez regarder la carte européenne de l’épidémie, que remarquez-vous ? D’énormes disparités entre pays et une très nette fracture Nord-Sud : l’Italie et l’Espagne (523 morts) font exception dans un continent où les pays scandinaves se distinguent par une mortalité dérisoire : 3 en Norvège, 4 au Danemark, 8 en Suède et… 0 en Finlande. Curieusement, l’ennemi viral semble également très peu létal dans l’ancien bloc de l’Est : 5 morts en Pologne, 0 en Russie, Biélorussie, Ukraine, Tchéquie, Slovaquie, ex-Yougoslavie et pays baltes. Faut croire que l’infâme Poutine a mis ses agents secrets sur le coup et encore trouvé le moyen de parer aux attaques occidentales… Plus sérieusement, ces chiffres très contrastés indiquent indubitablement que le pouvoir de nuisance du SARS-Cov-2 varie considérablement selon le système de soins qu’il rencontre. Ou selon les décisions des autorités. Ou selon le tempérament des habitants. Et si c’était un mélange des trois ? En tout cas, cette pathogénèse hétérogène demande à être élucidée. L’insolite gravité de la situation italienne mériterait que tous les journalistes d’investigation du monde convergent vers la péninsule pour y mener l’enquête. Pour ma part, je subodore que le mystère transalpin tient à une mixité d’éléments que j’évoque ci-dessous. Les autres vérités tenues sous le boisseau pourraient suffire à éclairer les bizarreries du « palmarès » européen.
Vérité n° 3 : le patient-type n’a pas changé
Vous vous rappelez du sida ? Au début, il était clair que ce syndrome d’immunodépression frappait exclusivement des homosexuels et des toxicomanes, et surtout les gays s’adonnant à de longues orgies rendues possibles par la surconsommation de médicaments et de drogues récréatives. La découverte providentielle du HIV a permis de faire croire que le tout-venant était exposé au risque et que l’épidémie allait galoper dans tous les milieux, ce qui ne s’est jamais vérifié. Avec le Covid-19, nous sommes dans un scénario similaire : épargnant très étrangement les bébés et les jeunes enfants, la maladie frappe très majoritairement les très vieilles personnes déjà très malades. On veut nous faire avaler que tout le monde est concerné mais le virus s’obstine à cibler ses victimes dans le 4ème âge en état de délabrement avancé. En Italie, selon l’Institut National de Santé cité par mon confrère américain Jon Rappoport dans sa dernière newsletter, la moyenne d’âge des patients décédés et testés positifs était de 80,3 ans. Et seulement deux d’entre eux n’avaient pas d’autres pathologies connues ! Un de mes amis a recueilli un témoignage de première main sur le premier décès belge attribué au coronavirus. Il s’agissait d’un octogénaire séjournant plus souvent à l’hôpital que dans son home et fréquentant assidument le bistrot du coin. On voyait souvent cet ivrogne tituber à la sortie du troquet et zigzaguer avec son déambulateur. Il serait sans doute mort de n’importe quoi à brève échéance mais il est désormais recensé comme une victime aléatoire de la fatalité infectieuse. Ce week-end, les radios et les télés belges diffusaient en boucle « l’information recoupée» selon laquelle trois médecins urgentistes quadragénaires étaient hospitalisés dans un état critique. Nous sommes mercredi et cette nouvelle n’a pas encore confirmée officiellement alors qu’il y aurait là un solide argument pour accréditer la thèse d’un virus démocratique se détournant du patient-type. Ce qui paraît avéré, c’est que le Covid-19 tue 10 à 20 fois plus de vieillards que la simple grippe saisonnière, du fait d’atteintes pulmonaires plus sévères. Il n’en reste pas moins vrai que l’agent infectieux fait preuve d’une sélectivité peu compatible avec l’idéologie pasteurienne. Si, selon cette religion, enfants, adolescents et adultes peuvent témoigner de leur solidarité en protégeant les aînés, il est mensonger d’insinuer qu’ils sont eux-mêmes des proies pour l’assaillant viral. La prédilection de ce dernier pour les doyens déjà très mal en point révèle incontestablement la primauté du terrain. Reste à comprendre pourquoi Corona exprime davantage sa dégradation qu’ Influenza. La vérité suivante pourrait nous éclairer.
Vérité n° 4 : c’est surtout une épidémie de iatrogénie
Je sais que je radote mais c’est un clou sur lequel il est important de taper : L’interventionnisme médical et ses effets iatrogènes contribuent très certainement à la létalité attribuée au SARS-Cov-2. À Wuhan, 90% des patients ont été (mal)traités à grand renfort de cortisone (immunodépresseur notoire) et de médicaments antiviraux redoutablement toxiques. Sans reparler de l’oxygénothérapie et de ses risques (voir ma lettre de la semaine dernière), je vous rappelle que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont aussi des « catalyseurs » de complications infectieuses. À ce propos, vous avez vu ce que le nouveau ministre français de la santé, Olivier Véran, a tweeté le 14 mars ? Il a mis en garde contre les médicaments anti-inflammatoires qui « pourraient être un facteur d’aggravation de l’infection ». Si même les membres d’un gouvernement noyauté par Big Pharma osent l’ouvrir, c’est que le mutisme est devenu intenable. Malheureusement, le successeur d’Agnès Buzin a cru bon de conseiller à ses followers de « prendre du paracétamol en cas de fièvre ». À très bon escient, mes confrères Xavier Bazin et Jean-Marc Dupuis ont souligné la stupidité de ce conseil et je vous renvoie à leurs textes que vous pouvez lire en cliquant ici et ici. Il est ahurissant qu’un haut responsable de santé ignore encore le rôle crucial de la température corporelle dans le contrôle des infections. La iatrogénie ne s’arrête cependant pas là. Dans les recommandations qu’elle a mise en ligne dimanche dernier , l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) pointe en effet un doigt accusateur sur d’autres médicaments susceptibles de favoriser les pathologies infectieuses telles que les anti-hypertenseurs, les sartans et.. les statines ou autre médicaments anticholestérol. Les médecins bienveillants suggèrent d’affronter l’épidémie en ne prescrivant rien pour l’enrayer et en déprescrivant les molécules que les patients absorbent pour d’autres troubles. Mais l’AIMSIB soulève aussi un énorme lièvre : selon des données émanant de l’armée américaine (1), la vaccination anti-grippale favorise les infections à coronavirus ! Dans son étude, l’auteur a observé une augmentation de 36% du risque d’infection par cette famille de virus chez les vaccinés contre la grippe. Or doit-on souligner que la médecine vaccine en priorité les personnes âgées ? Il faudrait d’urgence comparer la liste des décédés avec celle des vaccinés. Et en attendant, suspendre sine die cette vaccination dont on sait déjà qu’elle n’apporte rien de bon.
Vérité n° 5 : il y a probablement une part d’hystérie
Dans son discours à la nation française, le président Macron a fustigé l’ « hystérie collective » s’emparant de ses compatriotes qui se ruent dans les magasins et s’arrachent le papier de toilette. Sur ce coup-là, on ne va pas lui donner tort. Mais il ne s’agit là que d’un épiphénomène. Le phénomène, c’est tout autre chose. À la fois bien documenté et mystérieux, l’hystérie collective est définie depuis Sigmund Freud comme « une lutte contre l’angoisse par conversion somatique », c’est-à-dire par le développement de symptômes évoquant une maladie corporelle. Il ne s’agit pas de signes cliniques imaginaires mais d’une somatisation réelle créée par l’imagination, en l’absence de toute causalité matérielle objective. La psychiatrie et la psychanalyse étudient ce phénomène depuis des décennies et en ont trouvé de multiples exemples anciens et récents. En 1985, une épidémie de symptômes inexpliqués s’est encore produite parmi le personnel d’un hôpital de Marseille. Par curiosité, je me suis acheté hier matin l’ouvrage « Les peurs collectives », paru en 2013. Je n’ai pas tout lu mais je suis resté scotché devant le chapitre « la peur sociale somatisée : l’hystérie collective » écrit par Jean-Bruno Renard, professeur des universités à Montpellier. On y lit ceci : « L’hystérie collective se caractérise par des symptômes psychosomatiques : oppression respiratoire ou abdominale, mal de tête, évanouissement, nausées, dermatoses ». Ses causes ? « Une angoisse partagée » découlant autrefois du refoulement sexuel et aujourd’hui, dans nos sociétés modernes, du « stress dû à des pressions psychologiques ». Les psys ne savent toujours pas comment des symptômes physiques peuvent se transmettre par contagion psychique. Mais la réalité de cette contagiosité ne fait plus débat dans leurs rangs. Espérons que l’un d’entre eux va se pencher sur l’épidémie de Covid-19 car le contexte de peur et de stress transmis par les autorités se prête parfaitement à l’émergence d’un tel processus psychosomatique. Merci Monsieur Macron pour cette nouvelle piste explicative ! Elle m’a fait songer que les Italiens, tifosi dans l’âme, sont naturellement plus enclins à l’hystérie que les Scandinaves et les Slaves à sang froid.
Vérités n° 6 : les experts ne sont pas unanimes
Pour appuyer le pouvoir dont ils sont les valets, les médias mainstream belges et français tendent à nous faire croire que les experts (infectiologues, virologues, épidémiologistes…) sont d’accord encore entre eux, sont tous très inquiets et préconisent la même stratégie face à l’épidémie. C’est pourtant faux : dès le début, on a bien vu que certaines sommités médicales (Didier Raoult, François Bricaire, Éric Caumes…) calmaient le jeu, tenaient des propos rassurants et préconisaient des mesures d’endiguement légères ou nulles. Les voix discordantes sont désormais étouffées pour ne pas perturber l’union sacrée et faire accepter le lockdown. À la place du débat d’idées, on fait parader l’inénarrable Michel Cymes qui a retourné sa veste, changé d’opinion et rejoint les troupes pétochardes du caporal Macron. Mais cette unanimité de façade ne fait pas illusion : le monde scientifique demeure divisé et ça se voit au niveau européen : beaucoup de pays copient le modèle chinois mais certains d’entre eux (Pays-bas, Royaume-Uni, Suède…) ont opté pour une circulation relativement libre du virus afin de provoquer une immunité de groupe. Le raisonnement est le suivant : puisque l’agent infectieux est assez contagieux et assez peu dangereux ( c’est logique, voir mes infolettres précédentes), il est préférable de le laisser agir plus ou moins à sa guise et de favoriser ainsi une immunisation collective. Chez les partisans du confinement, on assiste plutôt à une surenchère de mesures restrictives. Qui aura adopté la meilleure méthode ? Ce match est passionnant car son issue en termes de mortalité et de létalité sera riche en enseignements. Pour l’instant, c’est plutôt le camp « libéral » qui tient le bon bout par rapport au camp « autoritaire ». Vous devinez mes préférences et mes espérances de victoire pour l’équipe qui aura le moins paniqué….
Vérités n° 7 : les mesures démesurées feront pire
Dans une tribune qui n’a pas fait grand bruit, le Pr Gilbert Deray, directeur du service de Néphrologie à l’hôpital universitaire Pitié Salpêtrière, a averti samedi dernier : « attention danger, mais pas celui que vous croyez ». Une phrase de ce texte m’a particulièrement touché : « Je suis inquiet pour nos anciens déjà seuls et qu’il ne faut plus ni voir ni toucher de peur de les tuer. Ils mourront plus vite mais “seulement” de solitude. » Ce passage m’a ému car je vis exactement ce cas de figure : ma vieille maman de 89 ans est en quarantaine dans sa maison de repos et nous ne pouvons plus la visiter, la voir et la serrer dans nos bras. Nous lui téléphonons plus souvent mais elle ne comprend pas trop cet isolement forcé et elle manifeste les signes physiques d’une souffrance morale. Question : combien de personnes âgées vont hâter leur dernière heure en raison du lockdown ? Et combien de petits entrepreneurs et commerçants poussés à la faillite vont basculer en dépression ? Combien de suicides dans les familles brutalement désargentées ou ruinées ? Combien de morts en plus en sachant – tous les sociologues de la santé le savent – que la précarité est synonyme de moindre hygiène de vie ? Combien de victimes inconnues parmi les angoissé(e)s qui vont encore consommer plus de médicaments psychotropes pour calmer leur anxiété ? Combien d’infections nosocomiales fatales supplémentaires dans les hôpitaux aseptisant leurs installations et instruments à grand renfort de produits biocides ? Combien d’effets secondaires pervers de la folie désinfectante encouragée par les autorités sanitaires ? Combien de maladies chroniques stimulées par l’interdiction d’activités physiques en groupe ? Et combien de troubles sévères générés par la peur et le stress ? Dans le Néosanté d’avril, on vous parle d’une étude récente révélant que la mise en quarantaine entraine un traumatisme psychologique pouvant encore se détecter des années plus tard. Et d’une autre recherche scientifique montrant comment le stress affaiblit le système immunitaire et diminue la résistance aux infections. Il sera très difficile d’évaluer toutes les conséquences engendrées par la période de confinement. Mais on peut rationnellement imaginer que les pertes humaines seront supérieures à celles occasionnées par l’épidémie. La médicalisation et la pasteurisation de nos existences, voilà ce qui les menace davantage que le coronavirus !
Vérités n° 8 : non, nous ne sommes pas en guerre
Dans son appel pathétique du 16 mars, le général de Gaulle du pauvre l’a décrété solennellement : « nous sommes en guerre contre un ennemi invisible ». Lui peut-être, mais pas moi, ni vous sans doute. Quand il a séjourné chez l’Oncle Sam en tant que Young Leader pour se préparer à diriger la France, rallumer la russophobie, vendre Alstom à ses maîtres américains et réformer les retraites au profit des fonds de pension US, le petiot qui aime jouer au soldat a probablement regardé trop de westerns et écouté trop de discours de Georges Bush Jr . Non, il n’y a pas un axe du bien et un axe du mal. Le monde n’est pas peuplé de gentils humains opposés à de méchants microbes qui veulent leur peau. Cette vision binaire et belliqueuse de la vie est puérile, profondément débile et scientifiquement dépassée. Distrait, le jeune Macron ? C’est pourtant aux États-Unis qu’a émergé il y a une trentaine d’années la médecine évolutionniste. Comme son nom l’indique, cette branche des connaissances médicales opère la jonction avec la théorie de l’évolution de Charles Darwin, et plus particulièrement avec son concept fondamental de sélection naturelle. Puisque la nature sélectionne les organismes les mieux adaptés à leur environnement, il est logique d’envisager les êtres vivants comme des structures assez bien conçues et munies d’outils d’autorégulation plutôt bien fichus. Or cette vision change tout ! À la lumière de l’évolutionnisme, les chercheurs engagés dans cette voie sont en effet occupés à révolutionner l’art de soigner les maladies et d’en prévenir l’apparition. Quelques exemples ? Ils nous disent que la fièvre ou l’inflammation sont des symptômes à ne pas combattre car ces mécanismes permettent d’accélérer l’auto-guérison des maladies infectieuses. Rejoignant les travaux de l’obstétricien Michel Odent, ils nous disent aussi que les accouchements surmédicalisés sont une calamité, notamment par leurs répercussions sur le microbiote des enfants. À propos du microcosme bactérien, ils nous expliquent que l’antibiorésistance est inexorable puisque, selon les lois de la sélection naturelle, les souches les plus costaudes s’adaptent aux médicaments biocides. Adhérant à « l’hypothèse de l’hygiène », ils sont également d’avis que la hantise des microbes et l’excès d’asepsie favorisent grandement les allergies et les troubles auto-immuns. Les virus, les bactéries, et même les parasites ayant co-évolué avec l’être humain trouvent grâce aux yeux de la médecine évolutionniste. D’ailleurs, certains traitements d’avant-garde consistent à réintroduire des vers dans l’intestin ! Bref, l’ « EvoMed » s’apparente bien davantage à l’hygiénisme naturopathique qu’à la médecine allopathique classique. La convergence avec la médecine nouvelle du Dr Hamer et la biologie totale du Dr Sabbah relève également de l’évidence : s’ils n’emploient pas exactement les mêmes mots, les médecins évolutionnistes nous disent finalement que les maladies sont des solutions de survie que les êtres vivants développent pour s’adapter à des facteurs de stress. Dans le numéro d’avril de Néosanté, notre dossier mensuel va vous raconter tout ça. Faites-moi penser à envoyer un exemplaire à l’Élysée, des fois que le mari de Brigitte se décide à grandir et à sortir de l’obsolète paradigme pasteurien.
Vérité n° 1 : les chiffres chinois sont hyper-rassurants
Il suffit de faire un rapide calcul : sur base des statistiques établies en Chine (80894 cas, 3237 morts ) le terrifiant agent infectieux SARS-Cov-2 y a fait très peu de dégâts. Il a contaminé 0,005 % des habitants de l’Empire du milieu et décimé seulement 0,0002% de la population. Certes, je n’ignore pas que ce taux de mortalité global reflète mal les disparités locales : dans la ville de Wuhan et la province de Hubei, le bilan est singulièrement plus lourd, de l’ordre de 1%. Il n’empêche qu’à échelle nationale, les « ravages » du coronavirus sont ridiculement faibles, très inférieurs à ceux de la grippe saisonnière. Avec environ 0,006% de mortalité, celle-ci est 20 fois plus meurtrière. Par rapport à la grippe espagnole (40 millions de morts, 2% de la population mondiale selon les estimations les plus sérieuses), le CoVid-19 s’est avéré 5.000 fois moins meurtrier chez les Chinois. Je parle au passé car là-bas, le nombre de nouveaux cas est en chute libre, ce qui augure d’une fin très proche de l’épidémie. Évidemment, on me rétorquera que cet excellent résultat résulte des mesures de confinement spectaculaires et très coercitives adoptées en Chine. OK, admettons la plausibilité de cette explication indémontrable. Mais pourquoi, comme le font certains épidémiologistes belges et français, agiter l’épouvantail d’un remake de 1918, avec des centaines de milliers ou de millions de morts à travers le monde ? Pour nous faire peur et nous inciter à être disciplinés ? Je doute de la valeur pédagogique de ce pessimisme exacerbé. On pourrait très bien faire le contraire et faire miroiter que l’incendie apparu en Chine a été remarquablement maîtrisé. L’éducation positive, jamais entendu parler ?
Vérité n° 2 : les chiffres européens sont trop bizarres
La justification de ce catastrophisme réside peut-être dans la situation italienne. Ce matin, dans ce pays, on comptabilisait déjà 2503 morts, soit 0,004% de la population. On comprend que l’Italie ait appelé la Chine à la rescousse pour tenter d’enrayer le fléau. Mais si vous allez regarder la carte européenne de l’épidémie, que remarquez-vous ? D’énormes disparités entre pays et une très nette fracture Nord-Sud : l’Italie et l’Espagne (523 morts) font exception dans un continent où les pays scandinaves se distinguent par une mortalité dérisoire : 3 en Norvège, 4 au Danemark, 8 en Suède et… 0 en Finlande. Curieusement, l’ennemi viral semble également très peu létal dans l’ancien bloc de l’Est : 5 morts en Pologne, 0 en Russie, Biélorussie, Ukraine, Tchéquie, Slovaquie, ex-Yougoslavie et pays baltes. Faut croire que l’infâme Poutine a mis ses agents secrets sur le coup et encore trouvé le moyen de parer aux attaques occidentales… Plus sérieusement, ces chiffres très contrastés indiquent indubitablement que le pouvoir de nuisance du SARS-Cov-2 varie considérablement selon le système de soins qu’il rencontre. Ou selon les décisions des autorités. Ou selon le tempérament des habitants. Et si c’était un mélange des trois ? En tout cas, cette pathogénèse hétérogène demande à être élucidée. L’insolite gravité de la situation italienne mériterait que tous les journalistes d’investigation du monde convergent vers la péninsule pour y mener l’enquête. Pour ma part, je subodore que le mystère transalpin tient à une mixité d’éléments que j’évoque ci-dessous. Les autres vérités tenues sous le boisseau pourraient suffire à éclairer les bizarreries du « palmarès » européen.
Vérité n° 3 : le patient-type n’a pas changé
Vous vous rappelez du sida ? Au début, il était clair que ce syndrome d’immunodépression frappait exclusivement des homosexuels et des toxicomanes, et surtout les gays s’adonnant à de longues orgies rendues possibles par la surconsommation de médicaments et de drogues récréatives. La découverte providentielle du HIV a permis de faire croire que le tout-venant était exposé au risque et que l’épidémie allait galoper dans tous les milieux, ce qui ne s’est jamais vérifié. Avec le Covid-19, nous sommes dans un scénario similaire : épargnant très étrangement les bébés et les jeunes enfants, la maladie frappe très majoritairement les très vieilles personnes déjà très malades. On veut nous faire avaler que tout le monde est concerné mais le virus s’obstine à cibler ses victimes dans le 4ème âge en état de délabrement avancé. En Italie, selon l’Institut National de Santé cité par mon confrère américain Jon Rappoport dans sa dernière newsletter, la moyenne d’âge des patients décédés et testés positifs était de 80,3 ans. Et seulement deux d’entre eux n’avaient pas d’autres pathologies connues ! Un de mes amis a recueilli un témoignage de première main sur le premier décès belge attribué au coronavirus. Il s’agissait d’un octogénaire séjournant plus souvent à l’hôpital que dans son home et fréquentant assidument le bistrot du coin. On voyait souvent cet ivrogne tituber à la sortie du troquet et zigzaguer avec son déambulateur. Il serait sans doute mort de n’importe quoi à brève échéance mais il est désormais recensé comme une victime aléatoire de la fatalité infectieuse. Ce week-end, les radios et les télés belges diffusaient en boucle « l’information recoupée» selon laquelle trois médecins urgentistes quadragénaires étaient hospitalisés dans un état critique. Nous sommes mercredi et cette nouvelle n’a pas encore confirmée officiellement alors qu’il y aurait là un solide argument pour accréditer la thèse d’un virus démocratique se détournant du patient-type. Ce qui paraît avéré, c’est que le Covid-19 tue 10 à 20 fois plus de vieillards que la simple grippe saisonnière, du fait d’atteintes pulmonaires plus sévères. Il n’en reste pas moins vrai que l’agent infectieux fait preuve d’une sélectivité peu compatible avec l’idéologie pasteurienne. Si, selon cette religion, enfants, adolescents et adultes peuvent témoigner de leur solidarité en protégeant les aînés, il est mensonger d’insinuer qu’ils sont eux-mêmes des proies pour l’assaillant viral. La prédilection de ce dernier pour les doyens déjà très mal en point révèle incontestablement la primauté du terrain. Reste à comprendre pourquoi Corona exprime davantage sa dégradation qu’ Influenza. La vérité suivante pourrait nous éclairer.
Vérité n° 4 : c’est surtout une épidémie de iatrogénie
Je sais que je radote mais c’est un clou sur lequel il est important de taper : L’interventionnisme médical et ses effets iatrogènes contribuent très certainement à la létalité attribuée au SARS-Cov-2. À Wuhan, 90% des patients ont été (mal)traités à grand renfort de cortisone (immunodépresseur notoire) et de médicaments antiviraux redoutablement toxiques. Sans reparler de l’oxygénothérapie et de ses risques (voir ma lettre de la semaine dernière), je vous rappelle que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont aussi des « catalyseurs » de complications infectieuses. À ce propos, vous avez vu ce que le nouveau ministre français de la santé, Olivier Véran, a tweeté le 14 mars ? Il a mis en garde contre les médicaments anti-inflammatoires qui « pourraient être un facteur d’aggravation de l’infection ». Si même les membres d’un gouvernement noyauté par Big Pharma osent l’ouvrir, c’est que le mutisme est devenu intenable. Malheureusement, le successeur d’Agnès Buzin a cru bon de conseiller à ses followers de « prendre du paracétamol en cas de fièvre ». À très bon escient, mes confrères Xavier Bazin et Jean-Marc Dupuis ont souligné la stupidité de ce conseil et je vous renvoie à leurs textes que vous pouvez lire en cliquant ici et ici. Il est ahurissant qu’un haut responsable de santé ignore encore le rôle crucial de la température corporelle dans le contrôle des infections. La iatrogénie ne s’arrête cependant pas là. Dans les recommandations qu’elle a mise en ligne dimanche dernier , l’AIMSIB (Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante) pointe en effet un doigt accusateur sur d’autres médicaments susceptibles de favoriser les pathologies infectieuses telles que les anti-hypertenseurs, les sartans et.. les statines ou autre médicaments anticholestérol. Les médecins bienveillants suggèrent d’affronter l’épidémie en ne prescrivant rien pour l’enrayer et en déprescrivant les molécules que les patients absorbent pour d’autres troubles. Mais l’AIMSIB soulève aussi un énorme lièvre : selon des données émanant de l’armée américaine (1), la vaccination anti-grippale favorise les infections à coronavirus ! Dans son étude, l’auteur a observé une augmentation de 36% du risque d’infection par cette famille de virus chez les vaccinés contre la grippe. Or doit-on souligner que la médecine vaccine en priorité les personnes âgées ? Il faudrait d’urgence comparer la liste des décédés avec celle des vaccinés. Et en attendant, suspendre sine die cette vaccination dont on sait déjà qu’elle n’apporte rien de bon.
Vérité n° 5 : il y a probablement une part d’hystérie
Dans son discours à la nation française, le président Macron a fustigé l’ « hystérie collective » s’emparant de ses compatriotes qui se ruent dans les magasins et s’arrachent le papier de toilette. Sur ce coup-là, on ne va pas lui donner tort. Mais il ne s’agit là que d’un épiphénomène. Le phénomène, c’est tout autre chose. À la fois bien documenté et mystérieux, l’hystérie collective est définie depuis Sigmund Freud comme « une lutte contre l’angoisse par conversion somatique », c’est-à-dire par le développement de symptômes évoquant une maladie corporelle. Il ne s’agit pas de signes cliniques imaginaires mais d’une somatisation réelle créée par l’imagination, en l’absence de toute causalité matérielle objective. La psychiatrie et la psychanalyse étudient ce phénomène depuis des décennies et en ont trouvé de multiples exemples anciens et récents. En 1985, une épidémie de symptômes inexpliqués s’est encore produite parmi le personnel d’un hôpital de Marseille. Par curiosité, je me suis acheté hier matin l’ouvrage « Les peurs collectives », paru en 2013. Je n’ai pas tout lu mais je suis resté scotché devant le chapitre « la peur sociale somatisée : l’hystérie collective » écrit par Jean-Bruno Renard, professeur des universités à Montpellier. On y lit ceci : « L’hystérie collective se caractérise par des symptômes psychosomatiques : oppression respiratoire ou abdominale, mal de tête, évanouissement, nausées, dermatoses ». Ses causes ? « Une angoisse partagée » découlant autrefois du refoulement sexuel et aujourd’hui, dans nos sociétés modernes, du « stress dû à des pressions psychologiques ». Les psys ne savent toujours pas comment des symptômes physiques peuvent se transmettre par contagion psychique. Mais la réalité de cette contagiosité ne fait plus débat dans leurs rangs. Espérons que l’un d’entre eux va se pencher sur l’épidémie de Covid-19 car le contexte de peur et de stress transmis par les autorités se prête parfaitement à l’émergence d’un tel processus psychosomatique. Merci Monsieur Macron pour cette nouvelle piste explicative ! Elle m’a fait songer que les Italiens, tifosi dans l’âme, sont naturellement plus enclins à l’hystérie que les Scandinaves et les Slaves à sang froid.
Vérités n° 6 : les experts ne sont pas unanimes
Pour appuyer le pouvoir dont ils sont les valets, les médias mainstream belges et français tendent à nous faire croire que les experts (infectiologues, virologues, épidémiologistes…) sont d’accord encore entre eux, sont tous très inquiets et préconisent la même stratégie face à l’épidémie. C’est pourtant faux : dès le début, on a bien vu que certaines sommités médicales (Didier Raoult, François Bricaire, Éric Caumes…) calmaient le jeu, tenaient des propos rassurants et préconisaient des mesures d’endiguement légères ou nulles. Les voix discordantes sont désormais étouffées pour ne pas perturber l’union sacrée et faire accepter le lockdown. À la place du débat d’idées, on fait parader l’inénarrable Michel Cymes qui a retourné sa veste, changé d’opinion et rejoint les troupes pétochardes du caporal Macron. Mais cette unanimité de façade ne fait pas illusion : le monde scientifique demeure divisé et ça se voit au niveau européen : beaucoup de pays copient le modèle chinois mais certains d’entre eux (Pays-bas, Royaume-Uni, Suède…) ont opté pour une circulation relativement libre du virus afin de provoquer une immunité de groupe. Le raisonnement est le suivant : puisque l’agent infectieux est assez contagieux et assez peu dangereux ( c’est logique, voir mes infolettres précédentes), il est préférable de le laisser agir plus ou moins à sa guise et de favoriser ainsi une immunisation collective. Chez les partisans du confinement, on assiste plutôt à une surenchère de mesures restrictives. Qui aura adopté la meilleure méthode ? Ce match est passionnant car son issue en termes de mortalité et de létalité sera riche en enseignements. Pour l’instant, c’est plutôt le camp « libéral » qui tient le bon bout par rapport au camp « autoritaire ». Vous devinez mes préférences et mes espérances de victoire pour l’équipe qui aura le moins paniqué….
Vérités n° 7 : les mesures démesurées feront pire
Dans une tribune qui n’a pas fait grand bruit, le Pr Gilbert Deray, directeur du service de Néphrologie à l’hôpital universitaire Pitié Salpêtrière, a averti samedi dernier : « attention danger, mais pas celui que vous croyez ». Une phrase de ce texte m’a particulièrement touché : « Je suis inquiet pour nos anciens déjà seuls et qu’il ne faut plus ni voir ni toucher de peur de les tuer. Ils mourront plus vite mais “seulement” de solitude. » Ce passage m’a ému car je vis exactement ce cas de figure : ma vieille maman de 89 ans est en quarantaine dans sa maison de repos et nous ne pouvons plus la visiter, la voir et la serrer dans nos bras. Nous lui téléphonons plus souvent mais elle ne comprend pas trop cet isolement forcé et elle manifeste les signes physiques d’une souffrance morale. Question : combien de personnes âgées vont hâter leur dernière heure en raison du lockdown ? Et combien de petits entrepreneurs et commerçants poussés à la faillite vont basculer en dépression ? Combien de suicides dans les familles brutalement désargentées ou ruinées ? Combien de morts en plus en sachant – tous les sociologues de la santé le savent – que la précarité est synonyme de moindre hygiène de vie ? Combien de victimes inconnues parmi les angoissé(e)s qui vont encore consommer plus de médicaments psychotropes pour calmer leur anxiété ? Combien d’infections nosocomiales fatales supplémentaires dans les hôpitaux aseptisant leurs installations et instruments à grand renfort de produits biocides ? Combien d’effets secondaires pervers de la folie désinfectante encouragée par les autorités sanitaires ? Combien de maladies chroniques stimulées par l’interdiction d’activités physiques en groupe ? Et combien de troubles sévères générés par la peur et le stress ? Dans le Néosanté d’avril, on vous parle d’une étude récente révélant que la mise en quarantaine entraine un traumatisme psychologique pouvant encore se détecter des années plus tard. Et d’une autre recherche scientifique montrant comment le stress affaiblit le système immunitaire et diminue la résistance aux infections. Il sera très difficile d’évaluer toutes les conséquences engendrées par la période de confinement. Mais on peut rationnellement imaginer que les pertes humaines seront supérieures à celles occasionnées par l’épidémie. La médicalisation et la pasteurisation de nos existences, voilà ce qui les menace davantage que le coronavirus !
Vérités n° 8 : non, nous ne sommes pas en guerre
Dans son appel pathétique du 16 mars, le général de Gaulle du pauvre l’a décrété solennellement : « nous sommes en guerre contre un ennemi invisible ». Lui peut-être, mais pas moi, ni vous sans doute. Quand il a séjourné chez l’Oncle Sam en tant que Young Leader pour se préparer à diriger la France, rallumer la russophobie, vendre Alstom à ses maîtres américains et réformer les retraites au profit des fonds de pension US, le petiot qui aime jouer au soldat a probablement regardé trop de westerns et écouté trop de discours de Georges Bush Jr . Non, il n’y a pas un axe du bien et un axe du mal. Le monde n’est pas peuplé de gentils humains opposés à de méchants microbes qui veulent leur peau. Cette vision binaire et belliqueuse de la vie est puérile, profondément débile et scientifiquement dépassée. Distrait, le jeune Macron ? C’est pourtant aux États-Unis qu’a émergé il y a une trentaine d’années la médecine évolutionniste. Comme son nom l’indique, cette branche des connaissances médicales opère la jonction avec la théorie de l’évolution de Charles Darwin, et plus particulièrement avec son concept fondamental de sélection naturelle. Puisque la nature sélectionne les organismes les mieux adaptés à leur environnement, il est logique d’envisager les êtres vivants comme des structures assez bien conçues et munies d’outils d’autorégulation plutôt bien fichus. Or cette vision change tout ! À la lumière de l’évolutionnisme, les chercheurs engagés dans cette voie sont en effet occupés à révolutionner l’art de soigner les maladies et d’en prévenir l’apparition. Quelques exemples ? Ils nous disent que la fièvre ou l’inflammation sont des symptômes à ne pas combattre car ces mécanismes permettent d’accélérer l’auto-guérison des maladies infectieuses. Rejoignant les travaux de l’obstétricien Michel Odent, ils nous disent aussi que les accouchements surmédicalisés sont une calamité, notamment par leurs répercussions sur le microbiote des enfants. À propos du microcosme bactérien, ils nous expliquent que l’antibiorésistance est inexorable puisque, selon les lois de la sélection naturelle, les souches les plus costaudes s’adaptent aux médicaments biocides. Adhérant à « l’hypothèse de l’hygiène », ils sont également d’avis que la hantise des microbes et l’excès d’asepsie favorisent grandement les allergies et les troubles auto-immuns. Les virus, les bactéries, et même les parasites ayant co-évolué avec l’être humain trouvent grâce aux yeux de la médecine évolutionniste. D’ailleurs, certains traitements d’avant-garde consistent à réintroduire des vers dans l’intestin ! Bref, l’ « EvoMed » s’apparente bien davantage à l’hygiénisme naturopathique qu’à la médecine allopathique classique. La convergence avec la médecine nouvelle du Dr Hamer et la biologie totale du Dr Sabbah relève également de l’évidence : s’ils n’emploient pas exactement les mêmes mots, les médecins évolutionnistes nous disent finalement que les maladies sont des solutions de survie que les êtres vivants développent pour s’adapter à des facteurs de stress. Dans le numéro d’avril de Néosanté, notre dossier mensuel va vous raconter tout ça. Faites-moi penser à envoyer un exemplaire à l’Élysée, des fois que le mari de Brigitte se décide à grandir et à sortir de l’obsolète paradigme pasteurien.
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